700 000 clandestins (dont 33 000 algériens) en France et 38% d’étrangers impliqués dans les actes délictueux et criminels commis en France, telle est la triste et tragique réalité. Ces chiffres, toujours dissimulés, ont été enfin communiqués par le nouveau ministre de l’intérieur, l’ancien préfet de police de Paris, Laurent Nunez, ce jour sur CNews.

Avec en filigrane, l’assassinat, d’une cruauté absolue, de la jeune Lola, violée, martyrisée et étouffée, par une algérienne sous OQTF, (comme 58 000 de ses compatriotes ou coreligionnaires), ces jours-ci à Paris. Si elle avait été expulsée, comme cela aurait dû être, une petite française serait encore en vie, or le premier devoir d’un État n’est-il pas de protéger ses concitoyens ?

Il y a là une faillite coupable de nos gouvernants ! Alors oui, on est droit de poser la question : Va-t-on accepter encore longtemps que nos enfants se fassent tuer, égorger, par ces assassins venus de l’autre côté de la Méditerranée ? Il faut dire STOP à ces accords privilégiés avec un pays qui crache à la figure de la France tous les jours, à cette hospitalité à sens unique, et dont beaucoup de français paient le prix du sang dans des faits divers horribles.

Nous le devons à la petite Lola, et à ses semblables qui ne demandaient qu’à vivre ! Nous le devons à leur innocence perdue ! Et nous le devons à l’effroyable drame que vivent leurs parents ! Quand donc nos autorités auront-elles le courage d’ouvrir enfin les yeux ? Jusqu’à quand refuseront-elles d’admettre l’évidence sur cette immigration incontrôlée porteuse de malheurs, dont les français font les frais ? Non seulement, ces migrants ont-ils à peine posé, illégalement, leur valise à terre qu’ils profitent de toutes les aides sociales, logement, santé, mais surtout ils refusent de se plier à nos lois et à nos règles et à respecter le pays hôte, en premier lieu sa population. La plupart d’entre eux refusent d’ailleurs de s’intégrer pour conserver leur langue natale, l’arabe, leur religion, l’islam, et leur coutumes comme s’ils vivaient toujours au bled, mais en plus ils sont à l’origine d’une multitude d’actes délictueux et criminels. Et que font nous gouvernants ? Rien, où si peu.

A l’heure où se développe un climat antisémite dans le pays, alors que nos compatriotes juifs ont un comportement exemplaire, nous assistons, les bras croisés, a cette implantation sauvage d’algériens sur notre sol et ne pouvons même pas expulser les auteurs de méfaits, au prétexte que leurs dirigeants refusent de récupérer leurs ressortissants, ce qui est contraire au droit international. La plaisanterie n’a que trop duré !

Assez de salamalecs, nous n’allons pas courber l’échine indéfiniment devant ce ramassis d’autocrates à Alger ! Assez de cette repentance ridicule liée à la colonisation dans laquelle ils veulent nous enfermer à perpétuité ! Assez également de ce personnel tiers-mondiste du consulat français d’Alger qui accorde des visas sans compter, et sans souci des lendemains qui déchantent pour les français de l’Hexagone ! Il est temps de couper le cordon ombilical avec l’Algérie et que les algériens comprennent que les français ne sont pas des vaches à lait qu’on peut traire indéfiniment. Et surtout impunément !

Qu’ils assument leur indépendance acquise en 1962 avec les accords d’Evian, pour notre part nous avons assez donné et tout a une fin. Le vieux proverbe français « chacun chez soi, et les poules seront bien gardées » n’a jamais été autant d’actualité