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Macron président ? Non, chanoine de la paroisse du Faubourg Saint-Honoré

Il y en a plus qu’assez que ce prétendu Jupiter fasse acte de repentance tous les jours. Après l’Algérie, et on a vu ce que nous y avons gagné, c’est au tour du Cameroun pour lequel il dit que la colonisation à été à l’origine de « dizaines de milliers de victimes » contre les mouvements indépendantistes.
Poursuivant : « La France a conduit une guerre dans ce pays » et qu’il lui revient d’assumer aujourd’hui cette responsabilité » au nom de la mémoire coloniale. Son goût pour l’auto-critique, d’origine marxiste, est sidérant.
Le fait-il en son nom personnel, ce qui est son droit, ou au nom « du peuple français » ce qui n’est rien de moins sûr, mais également de l’armée, mise en cause alors qu’elle agissait sur ordre d’hommes politiques comme lui, avec l’assentiment des autorités camerounaises issues de la décolonisation.
Trump rêve d’obtenir le prix Nobel de la paix, Macron quant à lui voudrait que l’histoire retienne qu’il a brisé des tabous, des interdits, tant pis si pour cela il doit écorcher l’image de la France et faire passer les français pour d’abjects individus.
A croire qu’il a été élève des jésuites avec son désir permanent de repentance, hier le Rwanda, l’Algérie, aujourd’hui le Cameroun et demain quoi ? Il passe son temps au confessionnal à avouer les « fautes des autres », surtout pas les siennes. A quand la flagellation en place publique, à la manière des chiites ?
Plutôt que passer ses vacances à Brégançon dans le Var à faire du jet-ski, le bon père Emmanuel aurait dû effectuer un pèlerinage à Saint-Jacques de Compostelle. Finalement, ce n’est pas la voie politique qu’il aurait dû choisir, mais celle du clergé, car il n’aime rien tant que le chemin de croix, et ferait un excellent pénitent.

Il a oublié au passage que si les racines françaises sont chrétiennes, la France est un État laïc et qu’il ne gouverne pas depuis la basilique Saint-Pierre de Rome, mais depuis le palais de l’Élysée. Il n’est pas Pape, mais seulement président de la République, il ne règne pas sur plusieurs milliards de croyants mais sur quelques soixante-dix millions de citoyens.

Et si les voix du seigneur sont impénétrables, les voix élyséennes sont quant à elles indéchiffrables.

Ukraine : Ses habitants ne sont pas du bétail qu’on échange à son gré, et le pays un comice agricole où on fait son marché aux bestiaux !!

On l’oublie un peu vite, mais qui dit échange de territoires, dit aussi échange de personnes qui les occupent ! Leur demande-t-on leur avis ? On nous a déjà fait le coup à Yalta, lors de la 2eme guerre mondiale, lorsque Staline, Roosevelt et Churchill se sont partagés, ont dépecé plutôt, la Pologne, la Hongrie, la Tchécoslovaquie, la Pologne et une partie de l’Allemagne. Résultat, ces populations ont vécu sous le joug soviétique et communiste pendant près de cinquante ans avant de reconquérir leur liberté !

On n’est pas instruit de l’expérience ?

Ce genre de marchandage sur le dos des peuples est proprement immoral et scandaleux. Les hommes et femmes ne sont pas des pions qu’on déplace à sa guise sur l’échiquier des nations, c’est révoltant, de l’arnaque pure et simple. Et d’ailleurs, de quels échanges parle-t-on, on doit plutôt parler de vol de territoires. Qu’à obtenu l’Ukraine après l’annexion militaire honteuse russe de la Crimée en 2014 ? Une partie de Moscou ou de Saint-Pétersbourg ? Rien de tout cela !

Qu’obtiendra-t-elle demain après l’annexion des quatre oblasts de l’Est (Lougansk, Kherson, Zaporijjia et Donetsk) par Poutine ? Rien, non plus, nada ! Un tel échange s’apparente à une vulgaire escroquerie au niveau du droit international qu’on foule aux pieds ! En plus d’être criminel, le régime de Poutine se double d’un délinquant de droit commun qui s’approprie indûment les biens d’autrui, les gangsters et mafieux n’agissent pas autrement, au nom de la loi du plus fort. Les russes sont des pirates des temps modernes qui ont substitué la couleur noire au drapeau rouge de la révolution d’octobre, faucille et marteau en moins. L’idéologie a changé, les mœurs non.

Et pour comble d’ironie, il faut qu’un occidental capitaliste, dépositaire de la bannière étoilée, lui-même peu regardant sur la légalité et en délicatesse avec la justice de son propre pays, se prête à cette odieuse combinaison. Pour lui, tout est bon afin d’obtenir le prix Nobel de la paix, dont il rêve comme un gosse capricieux de sa première console de jeux.

Cette alliance, contre nature, est celle de la carpe et du lapin !

Ce jeu de dupes, ces compromissions sordides entre les deux hommes sur le dos des peuples, en l’absence même du chef d’Etat ukrainien, premier intéressé, est odieux. La loi de la jungle et des affairistes a remplacé les traités diplomatiques et les règles internationales.

On est revenu au temps du chacun pour soi et Dieu pour tous, et non du « Un pour tous et tous pour un » glorifié par Alexandre Dumas.

Le temps des gentilshommes a laissé la place à celui des brigands, sans foi ni loi, à des méthodes de truands plus familiers des bas-fonds de la société que des institutions démocratiques.

Le monde que nous vivons est non seulement égoïste, pervers, violent et cruel il est aussi indécent et dépourvu d’éthique, c’est ce qui le rend irrespirable !

Rencontre Trump – Poutine en Alaska le 15 août

Cette réunion au sommet entre les deux chefs d’Etat dans l’Etat américain le plus vaste, cédé par la Russie (qui doit amèrement le regretter aujourd’hui) en 1867 aux Etats-Unis, appelle de ma part deux réflexions.

La première, est que cette rencontre, peut-être décisive, à propos de la guerre russo-ukrainienne va se faire en l’absence du principal intéressé, le président Zelenski. C’est comme si en 1962, à Evian, la signature des accords mettant fin à la guerre d’Algérie s’était faite … sans la France. Absurde ! Comment deux personnes, dont l’une est étrangère au conflit, peuvent-elles décider de l’avenir d’un pays, en l’absence du dirigeant le plus concerné ? C’est grotesque !

Leurs décisions n’engageront en rien Zelenski, autant dire que cette pseudo négociation est une farce, qui se double d’un coup d’épée dans l’eau. En fait ce rendez-vous n’est, ni plus ni moins, qu’un moyen pour Trump et Poutine de sauver la face suite à l’arrivée à terme de la menace américaine, non suivie de résultats, d’infliger à la Russie des sanctions économiques très lourdes. Personne n’est dupe, c’est d’un ridicule !

La deuxième réflexion, c’est que Poutine, visé par un mandat d’arrêt de la Cour pénale internationale, devrait être arrêté dès sa descente d’avion en Alaska. Il n’en sera rien bien sûr, pour la bonne et simple raison que les États-Unis n’ont pas reconnu cette juridiction, et donc pas tenu d’appliquer sa décision. C’est là un joli pied de nez à la justice venant d’une nation dont les magistrats, à Nuremberg en 1945, ont pourtant jugé les dignitaires nazis responsables d’atrocités durant la deuxième guerre mondiale.

Il y a là quelque chose de choquant à l’idée que le pays, qui se présente comme le phare de la liberté et de la démocratie dans le monde, reste les bras croisés face à un criminel de guerre qui devrait être jugé à La Haye, vraisemblablement condamné et emprisonné ensuite. Quel cynisme !

A part de sucer les glaçons, faire la sieste dans un igloo ou pêcher le poisson au harpon avec des esquimaux, je ne vois pas l’intérêt de Trump et de Poutine à se retrouver en Alaska.

Je le disais, c’est absurde et grotesque !

 

Cet Occident qu’on hait et cette France qui ne s’aime plus !

Nous vivons une époque « faisandée » comme dit le philosophe Michel Onfray, faisandée parce que nous assistons impuissant à la décadence d’une civilisation (occidentale), comme il y eut jadis la décadence de Rome. Faisandée, parce qu’un pays qui ne s’aime plus, chute. C’est le cas de notre pays, (sauf pendant les JO et la coupe du monde de foot), contrairement à Israël. qui aime sa culture, sa religion, sa langue, et où le peuple s’aime. Et cela fait trois mille ans que ça dure, avec à la base un livre, la Torah qui comprend les cinq premiers livres de l’Ancien Testament et le Talmud, postérieur au Christ.
Ce peuple a pourtant erré très longtemps avec Moise, avant de s’installer sur sa terre en 1948 avec Ben Gourion. Et ce pays s’aime, je le disais, c’est ce qui l’a toujours sauvé à travers son histoire, y compris pendant la Shoah et la « solution finale » voulue par les nazis, contrairement à la haine de soi qui attaque la civilisation en détruisant son propre système immunitaire.
 L’Occident, de son côté, se vomit continuellement dessus et court à son suicide parce qu’il est faible et intellectuellement pauvre, au point d’en être pathétique. Comment s’étonner après cela de la renaissance des Empires : américain, russe, chinois, turc, etc ? Ces pays aux valeurs nationalistes affichées, au goût prononcé pour l’autorité, alors qu’en Occident la démocratie est épuisée, désarmée, à bout de souffle, sans ressources, ni ressorts pour faire face aux périls grandissants de la planète.
 Une page de l’histoire des nations se tourne, l’ordre mondial, instauré au lendemain de la seconde guerre mondiale, qui a permis d’assurer la paix et la sécurité durant soixante-quinze ans, a vécu. Trump, avec l’instauration des droits de douane, à même crée un nouvel ordre économique mondial qui s’impose à tous.

 La France de son côté, parce qu’elle ne s’aime pas, est redevenue une petite nation dépourvue d’ambitions, de grands desseins (ou sont en 2025 le Concorde, le TGV, la fusée Ariane, etc. ) et de talents politiques, à défaut de compétences scientifiques, technologiques, artistiques.  La meilleure preuve du déclin de la France se lit à travers les chiffres de la démographie. Ainsi pour la première fois depuis quatre-vingt ans nous comptons plus de décès que de naissances, or si la France était une grande puissance sous Napoléon c’est parce qu’elle était le pays le plus peuplé d’Europe.

Cette baisse démographique nous condamne d’ailleurs, que cela nous plaise ou non, à avoir une politique d’immigration si nous voulons faire marcher l’économie et compenser le vieillissement de la population, avec pour corollaire « sauver nos retraites ». C’est bien là le problème et le grave dilemme qui s’offre à nous, entre souhait d’un côté et nécessité qui fait loi, de l’autre.
Telle la Belle au bois dormant et ses charmants atours : la cathédrale Notre-Dame de Paris, le château de Versailles, la Pyramide du Louvre, le musée Beaubourg, le Mont St-Michel et la Tour Eiffel, la France s’est endormie dans les bras de Morphée et attend qu’un prince charmant veuille bien la réveiller.
 Si un candidat existe pour l’embrasser, qu’il se fasse connaître, et le plus vite possible, il en va de notre destin et de notre survie.

Le geste ignoble d’un marocain qui a osé profaner la tombe du soldat inconnu !

Chaque soir, sous l’arc de triomphe, on rallume la tombe du soldat inconnu tombé lors de la Grande guerre et par ce geste la France témoigne du caractère sacré d’un acte qui n’est pas que symbolique. Ce soldat, anonyme, représente et incarne en effet, à lui seul, les millions de victimes françaises tombées au champ d’honneur en 1914-18.

Qu’un marocain de 47 ans, comptant 21 inscriptions au TAJ, (fichier de traitement des antécédents judiciaires) pourvu d’un titre de séjour qui expire à la fin de l’année, ait pu y venir rallumer sa cigarette est un outrage à un épisode tragique de notre histoire et à la mémoire de tous nos morts, de leurs familles et de leurs descendants. C’est une insulte publique à la nation française. C’est ignoble, inacceptable et inqualifiable. Cet acte est à vomir !

Dénoncer un geste aussi vil, ignoble, méprisable, est-ce faire preuve de racisme ? Je le dis haut et fort, il y en a plus qu’assez de ces migrants qui ne respectent pas notre pays, ses traditions, sa culture et souillent en permanence nos lieux saints ou mémoriels. La France n’a pas vocation à « accueillir toute la misère du monde », comme disait Michel Rocard, elle n’a pas davantage vocation à accueillir ses ennemis, islamistes et autres anti-français. L’Hexagone n’est pas une poubelle dans laquelle on peut jeter tous ses détritus ! Tous ces crachats sur nos valeurs, notre démocratie sont insupportables, nous en ferions le centième dans leurs pays que nous serions lynchés en place publique, et ce serait justice.

Lorsque nous visitons des régions étrangères, nous respectons leurs coutumes, leurs lois et leur religion, comme toute personne intelligente et éduquée doit le faire, et nous attendons en retour la même attitude sur notre sol. C’est le minimum que nous puissions attendre. Hélas, force est de constater qu’on foule constamment au pied le drapeau tricolore, conspue notre hymne national et qu’on se moque délibérément des statues de nos plus grands personnages et de nos monuments historiques. Avec toujours le même prétexte, la même excuse : la colonisation, l’esclavagisme, comme si nous devions être tenus responsables pour l’éternité de faits, pour certains vieux de plusieurs siècles.

La repentance, ça suffit, nous n’allons pas expier nos erreurs durant des millénaires, tendre une joue passe encore, mais deux certainement pas ! Au nom de quoi les enfants seraient-ils coupables des fautes commises par leurs parents ?

C’est oublier que les arabes ont été les premiers négriers des africains noirs durant beaucoup plus longtemps que les européens. Qui ose le dire ? Le leur reproche-t-on ? Non, au nom d’une religion commune, l’islam, comme si celle-ci était censée effacer tous les péchés du monde entre « frères ». Ces personnes s’installent chez nous, fort du droit d’asile et de notre générosité, alors qu’elles n’y ont pas été invitées, encore faut-il qu’elles respectent le pays hôte et la population qui les accueillent, conformément à la règlementation internationale.

Elles auraient d’ailleurs tort de croire qu’elles pourront se comporter en France comme en pays conquis, au mépris des textes, us et coutumes, et au détriment de la population autochtone. L’histoire est là pour leur rappeler que malgré ses faiblesses et ses petites lâchetés, notre peuple n’est pas d’un tempérament à se résigner et à accepter la soumission à qui que ce soit,  ou quoi que ce soit, pas plus une religion qu’une idéologie, et qu’un jour il peut fort bien se rebeller contre ceux qui auraient imaginé à tort pouvoir le contraindre.  Le gaullisme nous a enseigné que le renoncement n’était pas une option, ni une fatalité.

Et comme toute personne, qui a accordé avec trop de mansuétude son hospitalité, la France, forte d’une histoire millénaire glorieuse, éconduira, sans états d’âme, tous ceux qui auront abusé de sa confiance et de sa patience. Comme cela va être fait aujourd’hui, suite à la décision du Ministre de l’Intérieur de retirer le titre de séjour à ce délinquant marocain qui a trahi nos lois, injurié notre histoire et sali la mémoire de notre pays.

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