A plusieurs reprise au cours de notre histoire un couvre-feu a été imposé aux habitants, les deux derniers en date l’ont été durant la seconde guerre mondiale, mesure dictée par l’occupant nazi, et ensuite durant le confinement pour raison sanitaire.

Aujourd’hui on prévoit de le rétablir en Grande-Bretagne, et pourquoi pas en France, à l’égard des réseaux sociaux que les adolescents consultent une partie de la nuit, au détriment de leur sommeil et de leurs études. On appelle cela le « couvre-feu numérique », autre époque, autre vocabulaire adapté aux mœurs modernes et aux nouvelles technologies. Les NTIC sont passées par là !

Les ados vont récriminer, mais les parents qui ne peuvent les contrôler vont s’en réjouir. Peut-être que ce remède contre les addictions va aussi endiguer le fléau des maladies psychiatriques qui affecte de plus en plus de jeunes et leur fait commettre des actes délictuels, voire criminels de plus en plus nombreux et fréquemment. Auquel cas on ne pourra que ce réjouir de ce couvre-feu new-look !

Reste à tester cet antidote au poison des jeux vidéos et à la consultation, sans modération, de sites plus ou moins recommandable