Catégorie : La plume au vent Page 6 of 50

Elisabeth Borne, la femme qui dégainait le 49.3 plus vite que son ombre !

Pour sa réforme des retraites, qu’elle vient de saborder en haute mer, elle aura utilisé cet article vingt-trois fois, un record ! Heureusement, aujourd’hui, sous Lecornu 2, elle a été remisée dans un placard car elle commençait à sentir la naphtaline.

A 64 ans une grossesse est nécessairement à risque, d’où l’avortement en question. De profundis !

Et pourquoi, croyez-vous, a-t-elle immolé sa créature sur l’autel des sacrifices ? Tout simplement par crainte d’une dissolution, qui l’aurait fait disparaître des écrans radar de l’assemblée nationale. Exit, la bornée Elisabeth Borne !

Elle a été en effet élue députée en 2024, grâce à la complicité – complaisante – des Insoumis de Mélenchon, au nom du fameux barrage républicain. A quoi ça tient les convictions, quand les intérêts électoraux et l’ambition personnelle priment sur l’intérêt général.

Après une carrière de haut fonctionnaire, E. Borne, est en effet le prototype parfait de l’arriviste en politique, le portait type de celles et ceux que les français ne veulent plus voir.

Être élue, grâce aux voix des islamo-gauchistes, et antisémites, il n’y a pas de quoi être fière pour cette femme raide comme un tuteur de plants de tomates, au visage en lame de couteau et à la coupe en brosse digne de la légion étrangère.

Quant à l’avenir de cette ancienne préfète, au patrimoine plus qu’enviable, pas de soucis, elle va retrouver son strapontin dans l’hémicycle, avant de tomber définitivement dans le néant lors de la prochaine élection législative. Car cette fois, LFI sera aux abonnés absents pour lui offrir une bouée de sauvetage, et comme d’autres elle sombrera alors dans le naufrage du Titanic de la macronie dont elle a été l’un des visages les plus détestés par des millions de manifestants.

Elle pourra alors bénéficier des effets de sa réforme des retraites, de son bébé mort-né, grand bien lui fasse, on ne la regrettera pas !

Jean-Yves Duval, journaliste écrivain

Maria Corina Machado, la « Jeanne d’Arc des Caraïbes », prix Nobel de la paix !

Cette femme, âgée seulement de cinquante-huit ans, incarne la figure de la résistance vénézuélienne à Nicolas Maduro, ce qui l’oblige à militer dans la clandestinité pour demeurer libre. Elle vient donc de voler la vedette à Donald Trump, qui faisait pour ce Nobel un caprice d’enfant gâté, et ce n’est que trop mérité pour cette figure de la rébellion face à la dictature marxiste du Venezuela. Une reconnaissance d’autant plus justifiée qu’elle lutte également avec acharnement contre la corruption qui gangrène son pays, et soutient les USA dans leur lutte contre le narcotrafic dans les Caraïbes.

Ce prix est donc une récompense mais surtout la reconnaissance de son courage et de sa lutte en faveur de la liberté, en dépit des dangers qu’elle encourt quotidiennement. Il récompense aussi ses efforts incessants en faveur d’une transition pacifique de son pays vers la démocratie, vœu d’une majorité de vénézuéliens.

Celle, que dans son pays on surnomme « Libertadora », en souvenir de Simon Bolivar « Libertador », le libérateur du Venezuela, (1783-1830), véritable cheffe de l’opposition, aurait dû, voici un an remporter les élections présidentielles, si la consultation n’avait donné lieu à d’intenses manipulations de la part de Maduro qui ont tronqué les résultats de la consultation, au désespoir de la population vénézuélienne.

La tête de Maria Machado est d’ailleurs mise à prix par le régime et elle se cacher en permanence pour éviter l’arrestation, faisant des apparitions publiques fugaces sur une plate-forme de camion pour haranguer ses supporters avec un micro, avant de s’échapper à moto, et donner des interviews sur Internet où elle revendique inlassablement l’organisation d’élections libres au Venezuela.

Cette ingénieure de profession, qui milite en politique depuis 2002 à fait de son opposition à Chavez, et à son successeur, le combat de sa vie. Elle a déjà reçu en 2024 le prix « Sakharov », la plus haute distinction pour les droits humains, de l’Union européenne et « Vaclav Havel » décerné par le Conseil de l’Europe.

Nulle autre qu’elle méritait mieux ce Nobel de la paix, et Donald Trump devra se faire une raison, une femme exceptionnelle de courage vient de lui griller la politesse. Sory Mister Président !

Jean-Yves Duval, journaliste écrivain

Sortez les sortants !

Ce slogan de Pierre Poujade, dans les années 1950, n’a jamais été autant d’actualité, tellement les français en ont assez du vaudeville politique auquel ils assistent depuis quelques semaines, voire depuis près d’un an et demi, date de la dissolution de l’Assemblée nationale. Jamais les dirigeants politiques actuels n’ont à ce point montré leur appétit du pouvoir, leur désir d’obtenir des maroquins ministériels.

De vils Rastignac, tous autant qu’ils sont, qui se soucient plus de leur ego et de leur sort personnel, au détriment de l’avenir du pays, alors que celui-ci est en pleine tourmente. C’est d’une indécence inqualifiable ! Ainsi Édouard Philippe, maire du Havre, ancien Premier ministre d’E. Macron, mais aussi Gabriel Attal, également ancien chef de gouvernement, qui dit pis que pendre de l’hôte de l’Elysee. Tous deux ont en commun d’être candidats déclarés à la succession de Macron et surtout de devoir leur existence politique à celui-ci. Deux Brutus, qui rêvent de tuer César !

En politique, comme ailleurs, s’il est légitime d’avoir de l’ambition, ce devrait être pour « servir son pays » et non pour « se servir soi-même », ce qui n’est pas le cas de ces Tartufe. Les autres, les Olivier Faure, Marine Tondelier, etc. ne valent pas mieux, et je ne parle pas de Jean-Luc Mélenchon dont le but, révolutionnaire, est d’installer le chaos dans le pays, au détriment des français. Mais si tout cela s’est précipité ces dernières semaines c’est que le principal fauteur de troubles, l’inspirateur des soubresauts parlementaires, des crises gouvernementales à répétition, et de la colère du peuple, est le chef de l’Etat en personne qui, tel Néron, assiste aux dernières convulsions de son régime.

Alors oui, il s’honorerait d’en tirer les conséquences et de se retirer sur son Olympe, comme d’autres avant lui on fait, tel Charles de Gaulle en 1969, à la suite d’un référendum manqué. Mais à l’évidence la pointure du « Mozart de la finance » a toujours être trop petite pour pouvoir prétendre chausser les bottes du général. Car si Emmanuel Macron est responsable des désordres actuels, s’il est le problème, il est aussi paradoxalement la solution. A lui de faire preuve de courage pour le bien du pays qui est moqué de toutes parts à l’étranger, et qui est en proie à une grave crise économique et financière. Sa propre signature est désormais démonétisée, son crédit international épuisé, son aura de jeune premier de la classe ternie comme jamais au cours de la 5e République, c’est-à dire depuis soixante-sept ans.

A l’admiration pour cet OVNI de la politique qui a monté à l’assaut de l’Élysée sabre au clair à 39 ans, a succède la détestation, et aujourd’hui les instituts de sondage mesurent davantage sa cote d’impopularité que de popularité. Le roi est désormais nu, et son règne s’achève dans une déliquescence totale. Il se voyait Jupiter, il n’est plus qu’un roitelet déchu, bientôt privé de trône et de son hochet, abandonné de tous ses courtisans.

Votre départ, monsieur le Président, apporterait une respiration démocratique dont le pays a un besoin urgent, votre successeur une bouffée d’oxygène et une nouvelle assemblée, débarrassée de ses éléments islamo-gauchistes, des opportunistes plus soucieux de leurs intérêts électoraux que de l’intérêt national, en somme une sérénité parlementaire retrouvée. Il faut « sortir les sortants », comme disait Pierre Poujade, qui ont démontré leur impuissance, leur incapacité à gouverner la France et, pire encore, à s’unir dans l’intérêt du pays, à un moment crucial de notre histoire.

Il faut redonner la parole au peuple souverain ! La France ne peut s’offrir le luxe de vivre pendant encore un an et demi, au rythme des censures à l’assemblée, et de gouvernements éphémères. Cette instabilité est plus que dangereuse, elle est explosive. Vous le savez, le pays est au bord d’une rupture d’anévrisme, alors rendez un ultime service à la France. Pensez plus à elle, qu’à vous, si vous l’aimez, oubliez pour une fois votre narcissisme, votre arrogance, votre auto-suffisance et partez, Monsieur le Président, nous n’avons perdu que trop de temps. L’ancien banquier, que vous avez été au cours d’une autre vie, le sait mieux que personne, « le temps c’est de l’argent », surtout quand on a déjà près de 3 500 milliards de dettes et que les taux d’intérêts de son remboursement ne cessent d’augmenter du fait de la crise que vous avez provoqué par cette dissolution calamiteuse en 2024.

En huit ans, vous avez beaucoup abîmé notre histoire et nos institutions, vous avez toujours décidé seul sans consulter quiconque, vous avez méprisé vos collaborateurs, vos ministres, pire le peuple français, au motif que vous vous croyez plus intelligent que tout le monde, et il faudra beaucoup de temps pour réparer les dégâts. La convalescence française sera longue mais son redressement est à ce prix, il faut vous résoudre bon gré, mal gré, à tourner la page de la macronie, qui ne restera pas comme un exemple dans les manuels d’histoire.

Vous avez suscité beaucoup d’espoirs en 2017, vous héritez en 2025 de beaucoup de ressentiments et une immense déception. Le Bonaparte d’Austerlitz et d’Iéna est devenu celui de Waterloo.

Jean-Yves Duval, journaliste écrivain

Pogrom antisémite du 7 octobre, plus jamais cela !

Aujourd’hui 7 octobre, on va commémorer le plus grand pogrom du 21e siècle, celui exécuté par les terroristes du Hamas a l’encontre des israéliens voici deux ans. Rappelons que cette tuerie a causé la mort de 1219 juifs, enfants, jeunes, femmes et vieillards, certain(e)s ayant été torturé(e)s et violé(e)s lors d’actes d’une cruauté et d’une sauvagerie inimaginable.

Par leur actes ignobles leurs auteurs se sont eux-mêmes exclus de la communauté des humains, sans toutefois rejoindre celle des animaux qui n’ont pas leur cruauté. En outre, après 731 jours de détention dans des conditions inhumaines, dans les tunnels de Gaza, 48 otages sont encore détenus par l’organisation terroriste, dont 21 seraient morts.

Les islamistes ont ainsi montré qu’ils étaient les héritiers des nazis du 3e Reich, dans leur volonté d’extermination du peuple juif. Ils ont assuré la relève en matière d’antisémitisme, ce furoncle purulent de nos sociétés, au même titre que le racisme. Les miliciens du Hamas, nouveaux SS du 21e siècle, ont été doublement meurtriers car ils ont aussi pris en otages  les palestiniens de Gaza, qui ont payé le prix fort des attentats, meurtres et pillages commis au sein de l’Etat hébreu le 7 octobre 2023, dans le dessein de faire des gazaouis des martyrs à la cause palestinienne. A aucun moment, au cours des raids de l’aviation israélienne, ils n’ont accueilli et protégé la population dans leurs tunnels-bunkers la laissant exposée sciemment à ciel ouvert aux bombes et aux obus de l’artillerie.

Aucun gazaoui n’a d’ailleurs tenté de sauver l’un des otages israéliens, tous, au contraire, ont manifesté de l’allégresse en les voyant blessés, humiliés aux mains de leurs bourreaux, le front ceint d’un bandeau vert aux inscriptions islamistes. Ils transpiraient la haine devant leurs victimes et il n’y a eu aucun « juste » parmi eux, s’attirant le déshonneur à tout jamais. Ils sont devenus des parias aux yeux du monde civilisé.

La plupart des chefs de cette bande criminelle ont été exécutés par Tsahal mais la mauvaise graine ne sera jamais extirpée dans cette région du monde car ces hordes barbares prospèrent dans la haine et la violence, et peu importe le prix à payer pour les victimes innocentes. Après la Shoah et la solution finale du régime hitlérien, le monde croyait avoir connu le pire et déterré les racines du mal, malheureusement l’histoire est un perpétuel recommencement et nous avons été trop optimistes. Le réveil a été brutal pour Israël et l’Occident.

Reste qu’ici dans notre pays des islamo-gauchistes se font quotidiennement les propagandistes de ces assassins et s’efforcent d’importer le conflit palestino-israélien dans l’Hexagone. Ces français sont les idiots utiles d’une idéologie totalitaire et nous rappellent tristement les collabos d’une autre époque.

Nous pensions en 2025 vivre dans un monde civilisé, en réalité depuis deux mille ans, le monde n’est parvenu qu’à construire un vernis de civilisation, les barbares sont toujours là, à nos portes.

Jean-Yves Duval, journaliste écrivain

Lire & Ecrire, la recette du bonheur !

Mon salon-bibliothèque est l’un des endroits où je me sens le mieux au monde. J’ai l’impression d’y être entouré d’amis bienfaisants, d’une grande intelligence qui me tendent les bras ou attendent que je tende les miens vers eux. Leur présence silencieuse m’apaise et crée un climat de sérénité à l’abri de la fureur fu monde. J’aime les livres passionnément, comme toutes les personnes addictes à la lecture, et j’ai la faiblesse de penser qu’ils m’aiment un peu.

J’aime les romans qui me distraient, les biographies et les livres plus savants qui me font réfléchir et m’instruisent, tous sont essentiels à mon équilibre et à ma culture. Ils m’ont aidé, accompagné dans les moments difficiles, car les livres sont des amis fidèles qui ne vous abandonnent pas, et ne vous trahissent jamais quelque soit la cruauté de l’existence.

Depuis mon enfance et mon adolescence les fictions ont peuplé mes rêves avec leurs récits pleins de mystères et leurs personnages fantasques, Ils m’ont aussi beaucoup appris intellectuellement et ont fait ce que je suis : « Dis-moi quel livre tu lis, et je te dirai qui tu es », est on ne peut plus vrai. Lire est un vrai bonheur que je souhaite à tous de partager.

Lire est aussi essentiel à notre cerveau que les aliments à l’organisme humain, le livre nourrit notre imaginaire, nous permet de vagabonder à travers l’espace et le temps, de voyager à des milliers de kilomètres en restant chez soi, de côtoyer des êtres exceptionnels hors de la banalité quotidienne. Ne dit-on pas que la culture est la richesse de l’esprit et ne pas lire c’est se préparer à mourir pauvre.

Il se trouve en outre que j’aime écrire et la quinzaine d’ouvrages que j’ai publiés depuis plus de vingt ans garnissent les étagères de ma bibliothèque riche d’un millier de livres. Cette comparaison arithmétique, qui incite à l’humilité, me rappelle chaque jour notre humble condition de mortel. Tout le monde ne peut pas être aussi prolifique qu’un Alexandre Dumas et avoir fécondé les pages blanche d’un D’Artagnan et d’une Milady, ou encore d’un Edmond Dantes, alias Monte Cristo, où un Cervantes avec Don Guichotte.

Écrire c’est creuser un sillon et ensemencer un sol vierge afin de le rendre fertile et laisser une trace, même modeste, à la postérité et rendre utile notre passage terrestre, avec cette ultime fierté, que les livres nous survivront. De façon à pouvoir dire, lorsqu’on soufflera la bougie : Mission accomplie !

Merci aux livres pour nos magnifiques rencontres et cette aventure inoubliable.

Jean-Yves Duval, journaliste écrivain

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