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Ces dirigeants qui vivent comme des rats

Le plus célèbre d’entre eux est incontestablement Adolf Hitler qui a vécu un nombre de mois incalculable dans des bunkers sur les lignes de front des Ardennes et de Prusse orientale, avant celui construit sous la chancellerie à Berlin, où il s’est fait sauter le caisson, plutôt que de recevoir le plafond sur le crâne suite aux tirs de l’artillerie russe. Par sécurité, il a aussi avalé une capsule de cyanure, on n’est jamais trop prudent.

Puis il a eu Saddam Hussein, Mohamar Khadafi, et même Poutine lors de certains moments de tension au cours de la guerre avec l’Ukraine. Sans parler de tous les chefs du Hamas et du Hezbollah, réfugiés dans des tunnels, à Gaza et au Liban et que des bombes israéliennes ont envoyé dans un monde meilleur. Aujourd’hui, c’est au tour du guide suprême iranien Ali Khamenei, au pouvoir depuis 1989,de se planquer comme un pleutre dans un bunker, au nord de Téhéran, redoutant à chaque instant de recevoir une bombe sur le crâne qui l’expédierait ad patres retrouver Allah et les soixante-douze vierges promises en remerciement de ses bons et loyaux services (arrestations, tortures, exécutions etc. ) A 86 ans, soit dit au passage, les vierges en question ne risquent pas grand chose.

Il faut croire que ces dirigeants, et quelque autres, avaient une âme de maçon, comme Bouygues. Ils accordent surtout une valeur inestimable à leur misérable existence, qu’ils soient politiques ou religieux. Tous, à un moment de leur vie, ont vécu comme des rats, ou plutôt des souris piégées par des tapettes pour avoir convoité un morceau de gruyère. Pas de doute, le métier de dictateur et d’autocrate n’est pas de tout repos. Au point de préférer aux palais somptueux une simple casemate en béton pour leur sécurité et leur survie, qui, à leurs yeux, n’a pas de prix. Alors qu’aux nôtres, elles n’ont aucune valeur.

18 juin 1940; la voix d’un général à montré la voie du salut à un pays !

 Chaque 18 juin a une saveur particulière. Cette date, où le général lança, depuis les antennes de la BBC à Londres, son fameux appel à résister à l’oppression nazie est aujourd’hui chargée de symbole.
Elle est le témoignage d’un homme qui refusa l’asservissement de son pays et appela les français à résister, à ne pas renoncer à la liberté et à la démocratie. Cet appel, cette voix sont gravés à tout jamais dans l’Histoire de France.
 Ils étaient peu nombreux ceux qui l’ont rejoint pour poursuivre le combat au nom de la France Libre, ils étaient courageux et beaucoup sont morts en héros au cours des quatre années suivantes. Ils sont morts à 18, 19, 20 ans, fauchés en pleine adolescence, les armes à la main, parfois tortures et fusillés. Ils sont tombés en patriotes amoureux de leur pays pour un idéal plus fort qu’eux, celui de la liberté. Nous leur devons de vivre libres et en paix aujourd’hui, ne l’oublions jamais. Leur sacrifice n’a pas été vain, il nous a permis de relever la tête, face à l’armée hitlerienne qui entendait nous imposer son idéologie de l’homme supérieur et son antisémitisme, qui allait aboutir à la déportation et l’extermination de millions de juifs en Europe. Une idéologie mortifère qui voulait nous réduire à l’esclavage.
 Les nazis voulaient nous humilier, de Gaulle nous a permis de sauver notre honneur afin que la France demeure un pays souverain alors qu’en 1940 nous avions capitulé honteusement et que notre histoire était entachée du sceau infâme de la collaboration. En cela il a défendu, mais aussi lavé un honneur sali, et cela n’a pas de prix !
 Oui, le 18 juin est une date à nulle autre semblable dans notre calendrier, et la France sera éternellement reconnaissante au général de Gaulle d’avoir pu demeurer cette nation libre qu’elle est aujourd’hui, offrant au monde un autre visage que celui de la résignation et de la trahison.

« Œil pour œil, dent pour dent », la loi du talion plus vivante que jamais !

A l’heure où la guerre entre Israël et l’Iran s’intensifie, où l’on s’interroge sur une possible intervention militaire américaine, où, au-delà de la destruction de sites nucléaires iraniens, la survie physique du guide suprême Ali Khamenei est posée, de même que l’existence du régime honni des mollahs, il est intéressant d’effectuer un bref retour en arrière … jusqu’au 7 octobre 2023, jour où a été commis le plus grand massacre de juifs depuis la Shoah. Car tout est parti de ce pogrom qui a fait 1199 victimes israéliennes, 7400 blessés alors que 243 personnes étaient prises en otages et emmenées à Gaza par les miliciens du Hamas.

Depuis ce moment le gouvernement israélien, et Tsahal, n’ont de cesse de recomposer la géopolitique moyen-orientale afin de faire en sorte qu’une telle catastrophe ne puisse plus jamais se reproduire. Plus jamais cela ! Il y a eu pour commencer l’intervention armée dans la bande de Gaza, la destruction de plus de cinq cents kilomètres de tunnels et de postes de commandement du mouvement islamiste, et la mort d’un grand nombre de ses combattants. Avec aussi, malheureusement des pertes civiles en grand nombre, situation hélas inhérente à tout conflit. Il y a eu également  l’élimination de la plupart des chefs du Hamas, les commanditaires des tueries du 7 octobre. S’en sont suivis les bombardements au Liban, base arrière du mouvement terroriste Hezbollah et la décapitation de son Etat-major. Tous ces fous de Dieu, ont constitué des proies de choix pour les chasseurs bombardiers de l’Etat Hébreu, qui ont éliminé certaines d’entre elles au milieu de leur sommeil, dans leur chambre à coucher, jusqu’à Téhéran dans des lieux pourtant sécurisés par les « gardiens de la révolution ». Les autres ont été la cible des agents du Mossad, qui ont recouru à des technologies avancées, comme l’explosion simultanée d’une multitude de téléphones portables. Shukran Israël ! (Merci Israel)

Aujourd’hui, le théâtre de guerre s’est déplacé en Iran, et ce pour deux raisons. La première, est que ce pays, qui depuis 1979, date d’instauration de la révolution islamique à la suite du départ du Shah d’Iran, s’est fixé comme objectif la destruction d’Israël et la mort de tous les juifs. Au besoin en recourant à l’arme nucléaire que les mollahs tentent depuis des décennies de s’approprier, et qu’ils sont  sur le point de disposer aujourd’hui. Une seule bombe suffirait pour détruire un pays grand comme deux départements français, où la région de la Bretagne. La deuxième raison est que l’Iran est le commanditaire depuis très longtemps d’actes terroristes commis au Moyen-Orient, (souvenons-nous de la destruction dans les années 1980 de l’immeuble du Drakkar à Beyrouth, et la mort de dizaines de parachutistes français, sans parler d’un ambassadeur de France au Liban ) mais aussi en Europe, notamment en France, et que ce pays ne cesse d’actionner ses proxy, autrement dit le Hamas, le Hezbollah et les rebelles du Yémen, dans sa lutte meurtrière contre Israël.

Les nazis ont exterminé au cours de la deuxième guerre mondiale six millions de juifs, les islamistes chiites espèrent faire mieux encore, en anéantissant tout un peuple.  Le parallèle entre Adolf Hitler et Ali Khamenei est d’ailleurs saisissant, à ceci près que l’un agissait au nom d’une idéologie politique et l’autre d’une religion, au nom d’Allah, leur point commun étant un farouche antisémitisme. A ceux qui auraient encore quelques doutes je conseille vivement la lecture d’un ouvrage édifiant : « 7 octobre, la riposte », dont l’un des deux auteurs, Pierre Rehov, est diplômé de l’Institut international contre le terrorisme. Ce livre a de quoi vous glacer les veines par les descriptions épouvantables concernant la barbarie dont ont fait preuve les militants du Hamas le 7 octobre dans plusieurs kibboutz israéliens. Certaines lignes m’ont littéralement soulevé le cœur et je les déconseille aux âmes sensibles, alors même que je recommande l’ouvrage car il relate aussi les erreurs du renseignement ( Mossad, Aram, Shin-Beth, etc.) et du commandement militaire israélien et explique pourquoi une telle tragédie a été possible, ainsi que les leçons qu’il convient de tirer pour l’avenir.

S’agissant des tueries, mutilations, décapitations, je ne m’attarderai pas davantage. Je voudrais seulement rappeler que dans la tradition juive le corps d’un être humain doit être enterré dans son intégralité. Une organisation humanitaire israélienne est chargée de cette tâche, elle s’appelle Zaka, qui est l’acronyme de « Zihuy Korbanot Ason » qui signifie « Identification des victimes de catastrophes ». Les volontaires de Zaka ont donc eu, au lendemain du 7 octobre 2023, la mission terriblement éprouvante, de retrouver, d’identifier et de rassembler tous les restes des victimes, jusqu’aux plus petits fragments et à la plus petite goutte de sang sur un vêtement déchiré. Un de ces hommes, Yossi Landau, a dû ainsi analyser les cadavres, pour certains calcinés, énucléés, éviscérés, de 870 hommes, femmes, enfants, vieillards massacrés par les organisations palestiniennes, civils y compris, soit les deux tiers des victimes des pogroms. L’homme et ses compagnons ont été confrontés aux sommets de l’horreur et de l’atrocité. En revanche, Yossi Landau a recueilli le témoignage d’un vieillard de 97 ans, survivant de la Shoah, qui avait été contraint de travailler aux côtés du sinistre docteur Mengele à Auschwitz. Cet homme a pleuré en voyant les photos que le volontaire de Zaka lui a présentées, il a alors dit « même les nazis n’ont pas été capables de faire ça ! » Contrairement aux SS des Ensatzgruppen qui se soûlaient le soir pour oublier les abominations commises dans la journée, les jihadistes du Hamas étaient très fiers au point d’exhiber leurs victimes dénudées, violées, ensanglantées et de diffuser leurs pires atrocités sur leurs réseaux sociaux. Oui, il existe bien un parallèle entre les islamistes d’aujourd’hui et les nazis d’hier. J’ajoute que deux des compagnons de Yossi Landau, âgés seulement d’une quarantaine d’années, sont morts d’une crise cardiaque dans les semaines qui ont suivi. Sans doute s’étaient-ils endormis ayant en tête les images effroyables de tous ces corps mutilés et ont-ils préféré ne pas se réveiller. Comment s’étonner après cela qu’Israël veuille exercer la loi du Talion « œil pour œil, dent pour dent », d’infliger à l’ennemi le même châtiment qu’il lui a fait subir (code d’Hammourabi, roi de Babylone, 1730 av. JC)

Cela fait 2000 ans que ça dure, et il n’y a aucune raison que ça change car la haine et la violence se transmettent de génération en génération. Un héritage lourd à porter.

Alors aujourd’hui, quand on voit en France que ces idiots utiles de LFI, ces islamo-gauchistes avec à leur tête leur chef de meute Jean-Luc Mélenchon et leur égérie Rima Hassan, glorifient les actes d’un mouvement terroriste comme le Hamas, qu’on entend leurs propos haineux et qu’on les voit verser des larmes de crocodile sur les conséquences des raids aériens israéliens sur l’Iran, il y a de quoi désespérer de l’humanité. Ce type est une tumeur cancéreuse.

Oui, j’ai honte pour la France  quand je vois qu’une partie de sa population porte toujours dans ses veines le virus de l’antisémitisme, à l’heure où on a rétabli Alfred Dreyfus dans ses droits en l’élevant au grade de général de brigade. Un virus qui les fait hurler à la mort contre Israël, et prendre fait et cause pour les auteurs d’actes de barbaries aussi ignobles qu’inimaginables. Oui, LFI est coupable de tenir des discours antisémites, pour des motifs en grande partie électoralistes, mais ses électeurs sont complices, en les véhiculant à leur tour  !

En cet instant, je repense aux propos du socialiste Jérôme Guedj, compagnon de route (trotskyste) de Jean-Luc Mélenchon, qui a récemment déclaré « qu’il regrettait d’avoir aimé (Jean-Luc Mélenchon) un salopard d’antisémite« . Qu’il se rassure, il n’est pas seul à le penser, et que dire lorsqu’on n’a jamais admiré le leader des « Insoumis ».

« C’est lorsqu’on est environné de tous les dangers qu’il n’en faut redouter aucun » « L’art de la guerre »  de Sun Tzu, général chinois du VIe siècle avant JC

Jean-Yves Duval, journaliste écrivain

18 juin 1940 – 18 juin 2025, l’imposture

On prête le projet à Emmanuel Macron le projet de profiter de la conférence sur la Palestine, le 18 juin à New-York, pour reconnaître l’Etat palestinien. Voudrait-il chausser les bottes de sept lieues du général de Gaulle qu’il n’agirait pas autrement, car cette date est, oh combien, symbolique.

Sauf que reconnaître la Palestine c’est aussi reconnaître le Hamas, mouvement islamiste et terroriste qui gouverne la bande de Gaza, et ignorer le sort des israéliens encore retenus comme otages par leurs geôliers. C’est aussi feindre d’ignorer que le Hamas ne reconnaît pas l’Etat d’Israel et a juré sa destruction. Il s’y emploie d’ailleurs activement au prix de milliers de victimes depuis des décennies et particulièrement depuis trois ans, par son offensive barbare du 7 octobre 2023. Dans ces conditions reconnaître aujourd’hui un État palestinien reviendrait à légitimer le terrorisme que s’efforce précisément d’éradiquer Israël.

Le 18 juin 1940, par son appel, depuis Londres sur les ondes de la BBC, le général de Gaulle appelait les français à le rejoindre pour poursuivre le combat contre les nazis et défendre la liberté et la démocratie. L’appel de Macron le 18 juin 2025 serait un encouragement à s’opposer à la présence d’Israël dans la région en faveur d’un groupe d’islamistes désireux d’imposer la charia, et nul doute que cet appel resterait comme un très mauvais signal et marquerait d’une pierre noire son deuxième quinquennat.

N’est pas le général de Gaulle qui veut, l’un a imprimé de sa marque l’Histoire de France, l’autre l’a falsifié. Il ne faut pas confondre l’original et sa pâle copie.

Madame Borne, soyez ministre ou partez !

Hier encore à Nogent-sur-Marne un mineur de moins de 15 ans a tué une jeune femme de 31 ans, appartenant au personnel du collège. Bis repetita !

Et dire que ce mineur avait été expulsé deux fois en début d’année … avant d’être désigné « référent contre le harcèlement scolaire », de qui se moque-t-on ?

Notre société est devenue ultra violente, et alors que l’école devrait être un sanctuaire ses cours de récré sont devenus des champs de bataille. Dans les sacoches ce ne sont plus des trousses avec feutre et stylos que l’on trouve, mais des couteaux dont les lames sont parfois rouges du sang de victimes innocentes.

Et vous voulez gouverner la France ? Quelle gageure, quelle immodestie, l’humilité vous connaissez ? commencez déjà par administrer votre ministère. Ce qui se passe est l’échec certes des parents mais également de l’éducation nationale, depuis des décennies, donc le votre aussi personnellement.

Notre société est un grand corps malade, l’école convulse et on nous propose un Diafoirus pour la soigner, c’est tragique !

Assez de marches blanches et de minutes de silence, assez de discours larmoyants devant les caméras ! STOP, ça suffit, agissez ou rendez votre tablier !

Jean-Yves Duval, journaliste écrivain

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