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Ségolène Royal, François Hollande, Dominique de Villepin, le retour des « morts-vivants » en 2027 ?

A la campagne, les paysans les appelleraient des vieux chevaux de retour et les marins diraient d’eux « les vieux crabes ».

On les croyait rangés sagement au musée Grévin, voici qu’on les ressort du placard et que l’on dépoussière les costumes en vue d’une éventuelle représentation au public dans deux ans, pour une nouvelle tournée spectacle sur les planches de ce grand théâtre d’ombres qu’est la politique … Faut-il que les français aient la mémoire courte, alors rafraîchissons leur.

Un rappel : Hollande, le « sourcier de la politique »qui a le don magique de faire pleuvoir, n’a même pas pu se représenter au terme de son 1er mandat, tellement il était devenu impopulaire, contraint de se réfugier dans ses terres corréziennes, et Villepin, le « Qatari d’adoption », est celui qui avait conseillé à Chirac la dissolution catastrophique de l’Assemblée nationale, qui avait amené la cohabitation droite gauche.

Que voilà de brillants états de services … des sauveurs dont la France a cruellement besoin. A moins que ce ne soit une femme adepte de « l’ordre juste », ex-madone du Poitou, tellement clairvoyante quelle a été trompée par son mari sans rien voir venir.

« L’ennui avec les homme politiques, c’est qu’on croit faire leur caricature alors qu’on fait leur portrait » a écrit très justement le dessinateur humoristique Jean Sennep.

Quand même, ça sent un peu le moisi ou le rassis, à tout le moins le réchauffé ! La France manquerait-elle à ce point de talents, contrairement au jeu télé ? On nous aurait menti à l’insu de notre plein gré, comme disait Virenque ? On sait qu’en politique on ne meurt jamais, mais quand même, ils ne vont pas nous rejouer le bal des vampires ces trois là !

En réalité, ils ont eu la faiblesse de goûter dans le jardin d’Eden de la rue du Faubourg Saint-Honoré au fruit défendu, « le pouvoir », qui a un côté aphrodisiaque et le don de faire tomber les femmes en pâmoison. Il suffit de voir l’effet de cette drogue sur Julie Gayet pour François H. (avec ou sans scooter), de Cécilia et Carla pour Nicolas S.(avec ou sans bracelet électronique), ou encore de Brigitte pour M., un jeune homme qui fut son élève dans une vie antérieure. Les actrices tombent rarement dans les bras du commun des mortels, surtout lorsqu’il est petit ou un peu bedonnant.

Le pouvoir, et ses attributs : la séduction, l’argent, les réceptions élyséennes, les voyages autour du monde, les rencontres avec les grands de la planète, les ors des palais nationaux, les gueuletons de la République et les Ferrero Rocher de l’ambassadeur, sans oublier les cortèges présidentiels où l’on brûle les feux rouges sous le regard ébahi des gueux (comme dit Alexandre Jardin) et des sans-dents, (dixit FH) etc. constitue une addiction dangereuse et enivrante pour un homme politique qui ne parvient jamais vraiment à s’en débarrasser et l’oublier. Ce qui fait, qu’à peine sortis par la grande porte de la cour de l’Élysée ils n’ont qu’une idée, revenir par la fenêtre de la dépendance, voyez Trump, Poutine etc. Macron n’a pas déjà quitté le palais en 2027 qu’on le soupçonne de vouloir y revenir en 2032. Évidemment, dans sept ans Brigitte sera une première Dame un peu moins fringante qu’aujourd’hui, mais qu’importe le flacon pourvu qu’on ait l’ivresse, les tailleurs Dior et Chanel y pourvoiront.

Ah le pouvoir ! On peut dire du cannabis, mais le pouvoir … il leur procure autant de délices que la poudre blanche, et pourtant comme la cocaïne il n’est qu’un paradis artificiel … et attention à l’overdose qui peut être dangereuse pour la santé..

Alors SVP, François, Dominique, Ségolène … et les autres, rendez un dernier service à la France, celle dont vous vous servez, plus que vous ne la servez, restez sur vos cintres confortablement installés dans la penderie de votre retraite dorée d’une République généreuse, (pension, bureaux, voiture de fonction, gardes du corps, etc.), vous sentez un peu trop la naphtaline et le pays a besoin plus que jamais d’un grand coup de balai, qu’un esprit de renouveau souffle sur l’Hexagone et de respirer l’air du large.

D’ici là, et en attendant l’homme ou la femme providentielle, en espérant que 2027 sera le cru du siècle, chantons plutôt comme Pierre Perret …

« Ouvrez, ouvrez la cage aux oiseaux, (vieux moineaux) regardez les s’envoler, c’est beau …🎼 »

 

Boualem Sansal reste en prison : Honte à l’Algérie, honte à la France !

On espérait que ce 5 juillet 2025, jour de la fête de l’indépendance algérienne, le vieux cacique, à moitié sénile, qu’est le Président Tebboune gracierait Boualem Sansal. On avait tort, il ne figurera pas parmi les 5000 prisonniers libérés.
C’est dire l’iniquité de ce régime, et l’indifférence aux appels de la France, à qui il adresse ainsi un véritable pied de nez. C’est dire aussi l’inefficacité, l’insignifiance de notre ministre des affaires étrangères, Jean-Noël Barrot, incapable de défendre la cause de l’écrivain franco-algérien détenu depuis plusieurs mois à Alger, comme il est également tout aussi incapable d’obtenir la libération du couple français Jacques Paris et Cécile Kohler, retenu dans les geôles iraniennes.
Au-delà de notre chef de la diplomatie humilié, c’est Emmanuel Macron, et plus grave la France dont Alger se moque effrontément aujourd’hui. Ce pays méprise nos valeurs démocratiques et la première d’entre elles la liberté d’expression, dont Boualem Sansal se réclamait. Tebboune vient de planter le dernier clou dans le cercueil des relations franco-algériennes qui n’ont jamais été au plus mal depuis la fin de la colonisation dont nous sommes voués à porter le fardeau durant l’éternité, en grande partie parce que ceux qui nous gouvernent adorent s’auto-flageller. En visite à Alger en février 2017, Emmanuel Macron n’a-t-il pas qualifié la colonisation de « crime contre l’humanité » jetant l’opprobre aussi bien sur nos officiers d’active que sur les soldats du contingent qui auraient été les exécutants de ces crimes contre l’humanité, « des crimes inexcusables pour la République« . A l’époque les deux chefs d’Etat des bords de la Méditerranée entretenaient des relations idylliques, mais depuis la reconnaissance du Sahara occidental comme dépendant du Maroc par le président français ces relations entre Paris et Alger se sont quelque peu détériorées.
Notre président a eu beau faire des bassesses au chef d’Etat algérien, faisant de notre pays une serpillière tricolore rien n’y a fait, ce qui témoigne de son peu de crédibilité sur la scène internationale alors qu’il prétend être un acteur majeur au Moyen-Orient et dans la guerre russo-ukrainienne. Il n’y a que lui pour le penser, et surtout pas Poutine, Trump et quelques autres.
Que de désillusions que ce deuxième quinquennat où l’on va d’échecs, économiques et politiques, en échecs diplomatiques. Et dire qu’il va encore nous falloir endurer tout cela jusqu’en 2027, deux années vouées à l’immobilisme suite à la dissolution  calamiteuse de l’Assemblée nationale, en raison aussi de notre situation financière et budgétaire désastreuse et d’un homme et qui se voyait en Jupiter et qui n’est qu’un prince déchu. Sa fin de règne va être difficile pour lui et un long supplice pour les sujets de son royaume d’opérette.
Désolé Boualem Sansal, la France a cessé de briller au firmament des grandes nations depuis que les petits hommes gris et les banquiers nous gouvernent. Du moins, sachez que le peuple de France, lui, ne vous oublie pas, vous souhaite bon courage dans l’épreuve que vous traversez et vous est reconnaissant d’avoir adopté notre nationalité, nous faisant honneur, là où d’autres nous font honte. Et ce, quand bien même nos dirigeants actuels font si peu de cas de votre personne dans les moments dramatiques que vous vivez. D’un modeste romancier à un grand écrivain, que certains voient comme le Voltaire des temps modernes.
Respectueusement vôtre,
Jean-Yves Duval, journaliste écrivain

L’ignominie de Sébastien Delogu, député « Insoumis » de Marseille

A l’heure où le régime autocratique algérien condamne Boualem Sansal, écrivain français, que certains qualifient de Voltaire du 21e siècle, à sept ans de prison pour des motifs fallacieux, un député français, de LFI, en visite en Algérie, a dit sa « fierté d’avoir embrassé le drapeau algérien » et à fait l’éloge d’un régime stipendié. 
Au nom de quoi un de nos représentants nationaux, ceint d’une écharpe tricolore, reconnaît-Il un autre drapeau que celui de la République française qu’il a l’honneur de servir ? Ce triste individu n’est pas à son premier excès, à sa première incartade, que fait-on pour lui rappeler ses obligations et ses devoirs ?
Ce silence coupable assourdissant du gouvernement est aussi honteux et scandaleux que le geste lui-même, c’est lui accorder une sorte de blanc-seing, un encouragement à poursuivre dans cette voie, à la plus grande satisfaction de son mentor Jean-Luc Mélenchon.
Les autorités françaises, déjà incapables de faire libérer un de nos ressortissants, Boualem Sansal, des geôles algériennes, de même qu’un journaliste sportif français, affichent une fois de plus leur manque de courage vis-à-vis de ces marginaux de la République, qui ne cessent de vociférer dans l’hémicycle et de proférer des menaces à l’encontre de leurs opposants.
Il ne faudrait pas que baisser sa culotte face à ces braconniers de la démocratie devienne une habitude !

Mélenchon, ce politicien anti-France

Hier encore farouchement républicain, féru d’histoire, de philosophie et de littérature, Mélenchon est devenu en l’espace de quelques mois un « salopard » d’antisémite, dixit le socialiste Jérôme Guedj,  et prêcheur de haine, au point d’incarner l’anti-France.

Comment expliquer le virage a 90 degrés de cet ancien trotskyste, né au Maroc, devenu islamo-gauchiste, un tournant qui remonte à la création de LFI, ce parti révolutionnaire d’insoumis, autrement que par une soif insatiable du pouvoir et une démarche électoraliste visant à conquérir, au-delà des voix d’extrême-gauche, celles des français de confession musulmane, en tablant sur l’urbanisation des banlieues et l’immigration.
A 73 ans, Mélenchon sait qu’il joue sa dernière carte, pour 2027 s’il veut réaliser son ambition d’endosser le costume de président, le graal de tout homme politique. Il semble oublier que pour lui, le train a déjà sifflé trois fois, (2012, 2017, 2022) et ne s’est pas arrêté en gare, qu’il est resté sur le quai, seul,  ruminant son dépit et sa colère. A l’image du Cid de Corneille, il peut s’écrier « O rage et désespoir ! » Dans deux ans, la fumée noire qui s’élèvera de la cheminée du palais de l’Elysée scellera son nouvel échec et signera la fin de sa carrière politique.
Ite missa est, la messe sera dite !
Pour parvenir à ses fins, cet antéchrist de la politique n’aura pourtant pas hésité à vendre son âme au diable et à renier des convictions qui ont construit son corpus de militant de gauche sous la cinquième République. Et voici que maintenant il nous propose la créolisation de la société, dernier avatar de sa déconstruction de notre civilisation, ne lui en déplaise aux racines judéo-chrétiennes. Je le cite dans le texte :  « Si nous voulons que le français soit une langue commune, il faut qu’elle soit une langue créole ». Déjà qu’il réécrit l’histoire selon un narratif mélanchonien, en déboulonnant les statues de certains de nos ancêtres, criminalisant le passé de la France, (en particulier la colonisation de l’Algérie), et appelant à changer la composition de notre population, voici qu’il s’attaque désormais à notre culture, à notre langue qui constituent les socles de la nation, les piliers de toute société.
Récemment à l’Assemblée nationale, lors d’un colloque consacré à l’avenir de la francophonie, il n’a pas hésité à lancer : « le français n’appartient plus aux français ». Partout ailleurs dans le monde s’attaquer à la langue nationale aurait soulevé des réactions indignées, ici, que nenni, ce qui montre à quel point le travail de sape conduit depuis des années par les héritiers de mai 68 et de Trotski a miné les fondations de notre « cher et vieux pays », comme aurait dit le général de Gaulle.  Cette apathie générale, cette résignation est consternante alors que nous devrions tous nous lever comme un seul homme et défendre urbi et orbi ce lien charnel qui fonde notre société, ainsi que le disait si bien Albert Camus : Ma patrie, c’est la langue française. Molière doit se retourner dans sa tombe, sans oublier Racine, Guy de Maupassant, Alfred de Musset, et quelques autres.
Nous en avons assez de sa logorrhée populiste, de sa diarrhée verbale communautariste. Ce type aigri, sectaire et hargneux, n’aime pas le pays qui lui a tout donné, carrière politique comme réussite financière, il n’a même pas la reconnaissance du ventre et crache en permanence dans la soupe. Qu’il retourne donc au Maroc, ce Maghreb qui lui est si cher, et qu’il se dise qu’une carte postale annuelle de Marrakech nous suffira, cela lui évitera en 2027 de figurer au générique de Titanic dans le rôle d’acteur principal.
Le côté ironique de l’histoire est qu’en se réclamant de la créolisation de notre langue « le chef de meute LFI » oublie que le créole est issu du colonialisme et de l’esclavage du XVIème au XIXème siècle, et que celui-ci est une langue officielle depuis 1987 en Haïti, qu’il a son propre dictionnaire et est même enseigné depuis plusieurs années aux Etats-Unis. Pas sûr que les populations qui le parle apprécient cette appropriation de leur bien culturel, de ce qui est la mémoire vivante des Antillais, une forme de résistance culturelle du temps du commerce des esclaves, de son identité plurielle forgée à partir de langues européennes : français, anglais, portugais, espagnol, néerlandais, mélangées aux langues africaines et amérindiennes dans les colonies, par le chef des Insoumis, qui feint d’oublier que le français est une langue romane, codifiée avec une longue et riche histoire littéraire.
En évoquant la « créolisation » du français, Mélenchon témoigne de son profond mépris pour certains peuples et leur histoire singulière, y compris du peuple français. Et c’est cet homme qui prétend gouverner notre pays ? C’est pathétique, qui a dit que la vieillesse était un naufrage ?

 

Jean-Yves Duval, journaliste écrivain

Méfiez-vous, ce volatile ment comme un arracheur de dent !

En affirmant, quelques heures seulement après le bombardement de Fordo de Nazan et d’Ispahan, la réussite totale de leur destruction il a écrit l’histoire à sa façon et s’est donné le beau rôle, comme toujours. Depuis son élection, le bureau ovale de la Maison Blanche est devenu une annexe de Hollywood.

La vérité est toute autre, en réalité à l’heure d’aujourd’hui on ne sait rien des dégâts causés aux installations nucléaires iraniennes. La DIA américaine elle-même, service de renseignement du Pentagone en doute, de même que CNN et le New-York Times. Il est encore trop tôt pour avoir une véritable expertise sur l’impact réel des bombes larguées par les B2 furtifs. C’est prématuré.

Mais comme toujours, le mégalomane Trump a sorti de sa poche un récit qui relève plus de la fiction que de l’information. Et l’a imposé au monde entier médusé, mais muet.

Cet homme est un bluffeur et un menteur, ce n’est pas au golf qu’il devrait jouer, mais au poker. En plus, étant un tricheur invétéré, qui dispose toujours d’un as dans sa manche, il serait un « excellent » joueur.

Un joueur, qu’un jour l’Amérique chassera peut-être avec du goudron et des plumes comme tous les escrocs qui ont peuplé ce pays au temps du Far-west !

Tel est le destin de ce volatile, qui, après avoir trop plumé les autres, risque bien de finir comme une vulgaire poule au pot.

Jean-Yves Duval, journaliste écrivain

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