Chaque soir, sous l’arc de triomphe, on rallume la tombe du soldat inconnu tombé lors de la Grande guerre et par ce geste la France témoigne du caractère sacré d’un acte qui n’est pas que symbolique. Ce soldat, anonyme, représente et incarne en effet, à lui seul, les millions de victimes françaises tombées au champ d’honneur en 1914-18.

Qu’un marocain de 47 ans, comptant 21 inscriptions au TAJ, (fichier de traitement des antécédents judiciaires) pourvu d’un titre de séjour qui expire à la fin de l’année, ait pu y venir rallumer sa cigarette est un outrage à un épisode tragique de notre histoire et à la mémoire de tous nos morts, de leurs familles et de leurs descendants. C’est une insulte publique à la nation française. C’est ignoble, inacceptable et inqualifiable. Cet acte est à vomir !

Dénoncer un geste aussi vil, ignoble, méprisable, est-ce faire preuve de racisme ? Je le dis haut et fort, il y en a plus qu’assez de ces migrants qui ne respectent pas notre pays, ses traditions, sa culture et souillent en permanence nos lieux saints ou mémoriels. La France n’a pas vocation à « accueillir toute la misère du monde », comme disait Michel Rocard, elle n’a pas davantage vocation à accueillir ses ennemis, islamistes et autres anti-français. L’Hexagone n’est pas une poubelle dans laquelle on peut jeter tous ses détritus ! Tous ces crachats sur nos valeurs, notre démocratie sont insupportables, nous en ferions le centième dans leurs pays que nous serions lynchés en place publique, et ce serait justice.

Lorsque nous visitons des régions étrangères, nous respectons leurs coutumes, leurs lois et leur religion, comme toute personne intelligente et éduquée doit le faire, et nous attendons en retour la même attitude sur notre sol. C’est le minimum que nous puissions attendre. Hélas, force est de constater qu’on foule constamment au pied le drapeau tricolore, conspue notre hymne national et qu’on se moque délibérément des statues de nos plus grands personnages et de nos monuments historiques. Avec toujours le même prétexte, la même excuse : la colonisation, l’esclavagisme, comme si nous devions être tenus responsables pour l’éternité de faits, pour certains vieux de plusieurs siècles.

La repentance, ça suffit, nous n’allons pas expier nos erreurs durant des millénaires, tendre une joue passe encore, mais deux certainement pas ! Au nom de quoi les enfants seraient-ils coupables des fautes commises par leurs parents ?

C’est oublier que les arabes ont été les premiers négriers des africains noirs durant beaucoup plus longtemps que les européens. Qui ose le dire ? Le leur reproche-t-on ? Non, au nom d’une religion commune, l’islam, comme si celle-ci était censée effacer tous les péchés du monde entre « frères ». Ces personnes s’installent chez nous, fort du droit d’asile et de notre générosité, alors qu’elles n’y ont pas été invitées, encore faut-il qu’elles respectent le pays hôte et la population qui les accueillent, conformément à la règlementation internationale.

Elles auraient d’ailleurs tort de croire qu’elles pourront se comporter en France comme en pays conquis, au mépris des textes, us et coutumes, et au détriment de la population autochtone. L’histoire est là pour leur rappeler que malgré ses faiblesses et ses petites lâchetés, notre peuple n’est pas d’un tempérament à se résigner et à accepter la soumission à qui que ce soit,  ou quoi que ce soit, pas plus une religion qu’une idéologie, et qu’un jour il peut fort bien se rebeller contre ceux qui auraient imaginé à tort pouvoir le contraindre.  Le gaullisme nous a enseigné que le renoncement n’était pas une option, ni une fatalité.

Et comme toute personne, qui a accordé avec trop de mansuétude son hospitalité, la France, forte d’une histoire millénaire glorieuse, éconduira, sans états d’âme, tous ceux qui auront abusé de sa confiance et de sa patience. Comme cela va être fait aujourd’hui, suite à la décision du Ministre de l’Intérieur de retirer le titre de séjour à ce délinquant marocain qui a trahi nos lois, injurié notre histoire et sali la mémoire de notre pays.