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Cécité et surdité, ces deux maux français inguérissables !

En voyant la lenteur d’escargot avec laquelle Emmanuel Macron nomme ses Premiers ministres successifs, je me suis fait la réflexion que s’il était une femme il ne risquerait pas d’accoucher d’un prématuré.

Je me suis dit aussi, qu’avec lui au Vatican, on attendrait longtemps avant d’apercevoir la fumée blanche s’élever au-dessus de la basilique Saint-Pierre, qui symbolise l’élection d’un nouveau pape. A croire que le conclave est devenu un rituel républicain à chaque changement de gouvernement.  Patience et longueur de temps font plus force ni que rage, ce proverbe que l’on doit à Jean de la Fontaine semble être la devise du locataire de l’Elysée au prétexte qu’il serait le maître des horloges, même si pour cela il doit mettre  les nerfs des français à rude épreuve, et abuser de leur patience. Le monarque républicain est d’ailleurs connu pour être continuellement en retard, ce qui témoigne d’un souverain mépris à l’égard de ses semblables.  A l’évidence, il a oublié ce que disait Louis XVIII :  » La ponctualité s’impose à tous, même aux rois ». Snober les français est une chose, snober la France en est une autre, car pendant tout ce temps le pays n’est pas gouverné, que le vote du budget est indispensable et urgent  et que les paysans attendent désespérément qu’on veuille bien se préoccuper de leurs difficultés, mais aussi que notre dette abyssale continue d’exploser, l’insécurité de croître et d’embellir dans nos villes, le narco-trafic de se développer dans nos quartiers à vitesse grand V, tandis que la crise migratoire attend toujours le début du commencement d’un règlement.

Tel est le bon vouloir du prince qui nous gouverne, qui n’en fait qu’à sa tête et selon ses caprices, « quoi qu’il en coûte » à la France et aux français. C’est au point qu' »En Marche » devrait être rebaptisé « Voie sans issue », avant qu’un jour prochain la station s’appelle « Terminus ». Quant au fameux slogan « En même temps », qui devait révolutionner le monde, il est tout juste bon à remiser au magasin des accessoires, rayon des espoirs perdus et des ambitions anéanties.  Le temps, 7 ans,  a eu raison de ce mantra. Il est tellement rouillé qu’on ne voit pas comment il pourrait tenir encore trois ans.

Et pendant ce temps, le canon tonne aux frontières de l’Europe, les économies de nos voisins tournent à plein régime alors que la France est désormais le plus grand pays désindustrialisé d’Europe : seuls Malte et Chypre font pire que nous et qu’on se pose sérieusement la question : La France est-elle devenue un pays en voie de développement ? Sans compter que, selon l’INSEE, le taux de croissance du quatrième trimestre 2024  sera de +0,0%  et que la prévision pour l’année s’établira seulement à 1,1%.

Depuis la dissolution calamiteuse de l’Assemblée nationale décidée par E. Macron le 9 juin dernier, que de mois perdus ! Et que dire des conséquences catastrophiques de la motion de censure votée au motif d’intérêts partisans et et au détriment de l’intérêt général du pays ? Les mauvaises décisions s’enchaînent telles un mauvais génie. Le nombre des faillites d’entreprises (66 000)  va atteindre un niveau record tandis que les files de chômeurs ( 300 ooo) vont s’allonger devant Pôle emploi, le niveau de vie de nos compatriotes diminue drastiquement et le nombre des ménages en situation de précarité augmente sans cesse. Mais rassurez-vous braves gens, tout va très bien madame la marquise. Il y a seulement le feu aux écuries !

Un beau matin, peut-être, entendant les rumeurs monter du Faubourg Saint-Honoré, l’occupant du « château » demandera au majordome qui lui apporte des croissants chauds : « Est-ce une révolte, Firmin ? », ce à quoi l’homme en livrée noire et au gilet rayé lui répondra : « Non, sire, c’est une révolution ! ».

L’histoire a ainsi régulièrement des bégaiements, des convulsions sporadiques qui correspondent à une fin de règne par suite de la cécité de ses dirigeants. Alors que dire, si, en plus, ils sont atteints de surdité ?

Jean-Yves Duval, journaliste écrivain

Sur mon Ephéméride : Trump « touché » à l’oreille mais pas coulé, gouvernement : Sœur Anne, ne vois-tu rien venir ? Mariage à 150 millions de dollars en Inde

En ce début du mois de juillet maussade et en ce 14 juillet, jour de fête nationale, j’ai retenu trois informations pour le moins contrastées entre la folie des grandeurs d’un mariage en Inde, la tentative d’assassinat de Donald Trump lors d’un meeting de campagne en Pennsylvanie, et le roman feuilleton français de l’été (à l’eau de rose) avec un gouvernement fantôme et une chambre des députés introuvable depuis la IVème République.

Commençons par la tentative avortée d’assassinat du candidat républicain aux Etats-Unis. Nous connaissions déjà « Tintin et l’oreille cassée » nous avons maintenant « Trump et l’oreille ensanglantée ». Les vraies victimes sont l’assaillant qui a été tué de même qu’un spectateur. C’est ce qu’on qualifie de « victime collatérale », elle était là au mauvais moment, au mauvais endroit, la faute à pas de chance. On ne peut bien sûr que déplorer cette attaque ignoble qui vient s’ajouter aux multiples violences par armes à feu qui endeuillent chaque année les Etats-Unis. Quant au nombre de chefs d’Etat américains victimes de tireurs fous, on ne les compte plus de Lincoln à JFK, en passant par Ronald Reagan et quelques autres. C’est hélas, d’une triste banalité au pays de l’Oncle Sam où les déclarations d’incitation à la haine sont légion.  Gageons toutefois que le candidat républicain saura retourner la situation à son profit et déjà son image, levant le poing, l’oreille en sang, a fait le tour du monde et ne manquera pas d’avoir un impact positif auprès des électeurs américains, républicains ou non, le jours du  scrutin. Déjà en tête des sondages sa popularité va faire un bond. Nul doute également que ses spin doctors en communication sauront exploiter cet évènement, qui aurait pu être dramatique, de la meilleure façon qui soit et le candidat à la Maison Blanche en sera quitte pour une cicatrice qu’il pourra exhiber fièrement, n’en doutons pas, telle une blessure de guerre gagnée sur le front … politique !

La deuxième information que j’ai retenue de l’actualité de cette semaine est le mariage du fils de l’homme le plus riche d’Asie, dont la fortune personnelle est estimée à 123 milliards de dollars ce qui fait de lui la 11ème personne la plus riche du monde selon le magazine Forbes. Songez que sa maison est un gratte-ciel de luxe de vingt-sept étages à Bombay. Pour ce maharaja des temps modernes dépenser 150 millions de dollars pour son fils chéri ne représente qu’une pacotille, même pas une simple ligne de code sur son compte en banque. Pour ce prix là les jeunes mariés ont pu compter sur la présence à la cérémonie de Hillary Clinton, deux anciens Premiers ministres anglais, Bill Gates, Mark Zuckerberg, Ivanka Trump, etc.  mais aussi la chanteuse Beyoncé qui a offert aux 1 500 invités un concert privé grandiose. Pour ce mariage, qualifié du siècle, rien n’a été trop beau, le père du marié ayant choisi les meilleurs chefs cuisiniers et traiteurs de la planète, ainsi que les couturiers les plus réputés sans oublier une flotte de jets privés pour faire venir les invités de marque du monde entier. Alors qu’à quelques centaines de mètres de là, une quantité innombrable de gens vivent dans la pauvreté et la misère la plus extrême, ne disposant que de quelques roupies pour se nourrir. Il y a là quelque chose de choquant, d’indécent, quand bien même l’Inde, pays en pleine expansion, compte aujourd’hui 271 milliardaires ce qui la place en troisième position après la Chine et les Etats-Unis. Espérons que les plus démunis auront quand même eu droit à quelques miettes du festin afin que la morale soit sauve.

Je terminerai ce rapide tour du monde dans l’Hexagone avec les suites de l’acte suicidaire de la dissolution de l’Assemblée nationale, où une semaine après le deuxième tour des élections législatives aucun des partis représentés dans l’hémicycle n’a réussi à former une coalition de gouvernement et qu’aucun nom de premier ministrable n’est à ce jour sorti du chapeau, tel le lapin du magicien, en particulier du côté du Nouveau Front Populaire. Avant les élections  autant socialistes, communistes, insoumis et écologistes s’aimaient, autant aujourd’hui ils se détestent, c’est,  comme auraient dit Jane Birkin et Serge Gainsbourg « je t’aime, moi non plus« .  Une véritable boîte de Pandore, dont on attend qu’elle libère des malédictions pour le pays, à l’image de ce qui s’est produit  lorsque pour se venger de Prométhée Zeus offrit au frère de celui-ci une jarre, la fameuse boîte de Pandore, contenant la maladie et la mort.  Résultat, François Bayrou, le faiseur de roi,  se croit obligé de nous pronostiquer du haut de sa montagne pyrénéenne un nouveau gouvernement pour le mois de … septembre prochain. Un conseil, qu’il se retire sur son Aventin plutôt que de jouer les prophètes de malheur, ce serait miraculeux mais qui sait, Lourdes est tout proche de là. Quant à nous, il ne nous reste qu’à prendre, ou perdre patience !

« L’amour au bout de l’enfer » roman d’amour sur fond de guerre au Proche-Orient

En ce mois de juin, Jean-Yves Duval vient de publier son treizième roman « L’amour au bout de l’enfer » qui raconte la liaison amoureuse entre un avocat franco-israélien, Ariel Shapiro, et une pédiatre palestinienne, Yasmin Ashour, alors que le 7 octobre 2023 une attaque des terroristes du Hamas a ensanglanté Israël et que les bombardements de Tsahal qui ont suivi ont endeuillé la population de Gaza.

Cette idée de fiction, Jean-Yves Duval, qui à diverses occasions a été sur des théâtres d’opération (Première guerre du Golfe, Somalie, Bosnie, Kosovo, Albanie, Cambodge, Tchad, Côte-d’Ivoire, etc.) l’a eue au lendemain même du pogrom lancé par les miliciens islamistes à l’encontre de l’Etat hébreu. Nous étions le 7 octobre 2023 et cette attaque, tout le monde s’en souvient, à fait des milliers de victimes et des centaines d’otages parmi les juifs. La riposte, on la connaît aussi, a été immédiate et violente avec d’intenses bombardements de l’artillerie et de l’aviation sur la bande de Gaza occasionnant des dizaines de milliers de morts.

Comment dans ces conditions imaginer une histoire d’amour entre deux ressortissants de pays que tout sépare (la religion, l’idéologie, etc.) et qui sont animés par la détestation de l’autre ? C’est le pari qu’a tenté Jean-Yves Duval et l’enjeu qu’il s’est assigné à travers ce roman qui se veut un hymne à la vie et l’amour au moment où certains au Proche-Orient sont plutôt fascinés par la haine et la mort. Le roman s’étale sur une durée d’un an, du printemps 2023 au printemps 2024 et l’auteur, au-delà de cette histoire d’amour à la « Roméo et Juliette » nous entraîne dans les coulisses des régiments les plus secrets d’Israël, comme l’unité 8200, et surtout le MAG, qui réunit des juristes militaires israéliens (à l’image du JAG américain) chargés d’apprécier la conformité des frappes israéliennes avec les lois de la guerre et les différents traités internationaux. C’est justement cette unité, peu connue des israéliens eux-mêmes, qu’Ariel Shapiro a été affecté comme réserviste. Il est donc aux premières loges pour observer les opérations conduites par Tsahal, notamment les exécutions ciblées de chefs de l’organisation islamique opérées par des tueurs du Mossad, mais aussi les opérations clandestines conduites pour détruire les tunnels construits par le Hamas, le fameux « métro de Gaza ».

Grâce à un troisième personnage, le narrateur, reporter de guerre, les lecteurs se trouvent immergés sur le terrain et suivent l’avancée de l’armée israélienne dans la bande de Gaza jusqu’à Rafah, à la frontière égyptienne. Ils découvrent la vie quotidienne terrifiante d’une jeune femme palestinienne exerçant son métier de médecin sous les bombes, tout en pensant à son amoureux israélien dont elle est séparée par une frontière infranchissable.

« L’amour au bout de l’enfer », s’inscrit dans la lignée de grands romans d’amour et de guerre en conjuguant la fiction et la réalité d’une actualité brûlante au Proche-Orient. Il est dans la droite ligne de la volonté affichée par l’auteur dans ces différents romans d’instruire et de distraire les lecteurs. Nul doute qu’il devrait recevoir un très bel accueil du public en librairie et lors des séances de dédicaces.

« L’amour au bout de l’enfer » – Aïda Edition, 324 pages, 16,90 euros, disponible sur Amazon et à la Fnac

 

Les dérives de l’Hugo Chavez français !

Lors du traditionnel défilé du 1er mai on a vu une chose extraordinaire, l’expulsion suivie de l’exfiltration  du cortège d’un responsable socialiste, tête de liste aux Européennes, Raphaël Glucksmann. Celui-ci était non seulement la cible des vociférations haineuses mais surtout des menaces physiques d’une bande d’insoumis de LFI.  Ce parti sort chaque jour un peu plus de l’arc républicain, se radicalise de façon inquiétante et emploie des méthodes de ripoux.

Depuis plusieurs mois désormais, sous l’impulsion de leur leader Maximo, Jean-Luc Mélenchon, le Hugo Chavez français, que ce soit à l’assemblée nationale ou dans la rue   « La France Insoumise » pratique une démocratie à géométrie variable. On comprend pourquoi Fabien Roussel, le responsable du PCF, a depuis plusieurs mois déjà pris ses distances et s’il n’était aussi falot, Olivier Faure le Premier secrétaire du PS aurait été bien inspiré de l’imiter. Force est de constater que la tête de liste écologiste aux Européennes, Marie Toussaint est plus courageuse que lui,  qui condamne régulièrement les « propos inacceptables de JLM ».  Du coup, exit la Nupes, cet éphémère « programme commun » qui prétendait marier la carpe et le lapin. Quel illusoire dessein, doublé d’un pari absurde ! Dès le début cet assemblage baroque, iconoclaste, était voué à l’échec de par la seule présence de Jean-Luc Mélenchon qui se rêve certains jours en Mao, d’autres en Lula Da Silva,  c’est-à-dire en grand timonier de l’Hexagone.  En vieillissant, l’individu s’est aigri et est devenu revanchard, n’ayant toujours pas digéré ses échecs lors des précédentes élections présidentielles. De Gaulle ne disait il pas que la vieillesse est un naufrage, et Jean-Luc Mélenchon joue du violon sur le pont arrière du Titanic.

Même son accoutrement, veste noire d’ouvrier est un clin d’œil au vêtement fétiche de Staline, quant à sa gestuelle, n’en parlons pas. A l’appui de ses propos vindicatifs, violents, elle n’est pas sans nous rappeler la posture de quelques dictateurs et autres caudillos du siècle dernier.  Sa transformation est telle que ses anciens amis, comme Julien Dray, compagnon de route trotskiste, ne le reconnaissent plus, tellement l’homme à « disjoncté » politiquement.

«  Le narcissisme de Mélenchon l’a rendu fou » ce n’est pas moi qui le dis mais Jean-Francois Khan, et je signe des deux mains. Hier encore le chef de LFI ne s’intéressait pas au conflit israélo-palestien au prétexte « qu’il n’y avait que des coups à prendre », aujourd’hui il a changé d’avis, sans doute parce qu’il y a des voix à gagner ! C’est ce qu’on appelle un militant de la dernière heure.

Aujourd’hui, sous l’impulsion de Mélenchon et de Mathilde Panot, LFI n’existe que par l’invective et l’outrance verbale, que ce soit dans les rangs de l’Assemblée nationale ou sur les estrades. Leur dernière trouvaille dans cette stratégie de conflictualisation est d’avoir placé la Palestine au cœur de la campagne des Européennes et d’essayer d’entraîner derrière eux les étudiants  de Sciences Po et de la Sorbonne grâce à leur égérie, l’avocate franco-palestinienne Rima Hassan, oubliant volontairement au passage les massacres du 7 octobre 2023 commis par le Hamas. On se demande bien d’ailleurs ce que vient faire le Moyen-Orient dans ce débat des européennes ?  Sauf à y voir là une nouvelle occasion de séduire un électorat issu de l’immigration cher au tribun en chef des insoumis. Le clientélisme a encore de beaux jours devant lui, d’où ce discours islamo-gauchiste,  aux relents nauséabonds d’antisémitisme.

Malheureusement, à souffler ainsi continuellement sur les braises, à opposer les uns aux autres,  Mélenchon et les siens contribuent à la fracturation de la population française, à la diviser un peu plus chaque jour, d’entretenir un climat de guerre civile, alors qu’elle danse déjà sur un volcan, dont on se demande à quel moment il va entrer en éruption. Ils devraient savoir qu’à entretenir ainsi la discorde, à créer la zizanie en permanence, ils pourraient bien un jour en subir les conséquences et devraient se souvenir du proverbe : Qui sème le vent, récolte la tempête.

 

William Sidis, un génie dans un monde d’ignorants

Il s’appelait William James Sidis, ce nom ne vous dira sans doute rien et pourtant c’était un sacré personnage, comme on en voit rarement.

Il a vu le jour aux Etats-Unis, d’une famille juive ukrainienne, en 1898, et dès sa naissance  son père détecta en lui un génie, ce en quoi il ne se trompait pas, comme ce qui suit en témoigne.

A 8 mois, William marche …

A 1 an 1/2, il lit le journal …

A 2 ans, il a lu l’Odyssée  d’Homere

A 8 ans, William parle huit langues en plus de l’anglais : le français, le russe, l’allemand, le grec, le latin, l’hébreu, l’arménien et le turc, et il invente même son propre langage le « vendergood » …

A 8 ans encore,  il réussit le concours d’entrée à Harvard, mais il est jugé trop jeune et il n’y entre qu’à 11 ans …

A 15 ans, il est diplômé avec mention …

A 24 ans, il publie un traite sur l’antimatière, et à 27 ans un autre de cosmologie …

il est considéré comme un prodige. Il est vrai qu’il est l’américain avec le plus haut QI recensé : 300, sur une moyenne de 100, alors qu’Einstein n’est recensé qu’à 160.

William James Sidis est décédé à l’âge de 46 ans d’une hémorragie cérébrale.

A l’heure de tant de médiocrité, je souhaitais vous faire découvrir ce personnage hors-normes, un des humains les plus intelligents de tous les temps.

Cela fait du bien de savoir que cela existe, à l’heure où on ne compte plus le nombre d’imbéciles et d’êtres  incultes. C’est même très rafraîchissant.

 

 

 

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