Il s’appelait William James Sidis, ce nom ne vous dira sans doute rien et pourtant c’était un sacré personnage, comme on en voit rarement.
Il a vu le jour aux Etats-Unis, d’une famille juive ukrainienne, en 1898, et dès sa naissance son père détecta en lui un génie, ce en quoi il ne se trompait pas, comme ce qui suit en témoigne.
A 8 mois, William marche …
A 1 an 1/2, il lit le journal …
A 2 ans, il a lu l’Odyssée d’Homere …
A 8 ans, William parle huit langues en plus de l’anglais : le français, le russe, l’allemand, le grec, le latin, l’hébreu, l’arménien et le turc, et il invente même son propre langage le « vendergood » …
A 8 ans encore, il réussit le concours d’entrée à Harvard, mais il est jugé trop jeune et il n’y entre qu’à 11 ans …
A 15 ans, il est diplômé avec mention …
A 24 ans, il publie un traite sur l’antimatière, et à 27 ans un autre de cosmologie …
il est considéré comme un prodige. Il est vrai qu’il est l’américain avec le plus haut QI recensé : 300, sur une moyenne de 100, alors qu’Einstein n’est recensé qu’à 160.
William James Sidis est décédé à l’âge de 46 ans d’une hémorragie cérébrale.
A l’heure de tant de médiocrité, je souhaitais vous faire découvrir ce personnage hors-normes, un des humains les plus intelligents de tous les temps.
Cela fait du bien de savoir que cela existe, à l’heure où on ne compte plus le nombre d’imbéciles et d’êtres incultes. C’est même très rafraîchissant.