Catégorie : La plume au vent Page 4 of 50

L’Europe et les WC … les ostréiculteurs envasés !

A Bruxelles on estime à quelques soixante mille le nombre de technocrates européens, (dont les salaires varient de trois à quinze mille euros mensuels) autant dire un énorme machin , comme aurait dit de Gaulle parlant de l’ONU. Et ce monstre administratif vomit chaque jour des textes, des règlements, des normes, des directives, des décisions, des traités internationaux et des lois, en veux-tu en voilà, qui s’imposent aux vingt-sept nations de l’Union Européenne. 
J’ai seulement retenu deux de ces règlements pour illustrer de façon ironique la production intellectuelle de ces brillants cerveaux. Le premier règlement (obligatoire depuis le 22 juillet dernier) concerne l’installation de WC et d’un lavabo sur les bateaux de moins de douze mètres, dont les barges ostréicoles du bassin d’Arcachon, de l’étang de Thau, de Cancale et d’ailleurs en Méditerranée où sur la côte atlantique. On est vraiment au royaume d’Ubu roi, et Molière doit se bidonner dans sa tombe.
A croire que ces champions de la bureaucratie n’ont jamais vu de leur vie de bateaux à fond plat, car à moins d’installer les WC sur le toit de la cabine, on ne voit pas comment on pourrait faire. On ne parle pas ici en effet d’une vedette ou d’un yacht, mais d’une embarcation d’ostréiculteurs. Ces professionnels de la mer vont donc devoir choisir entre entreposer leurs poches d’huîtres sur le pont de leur esquif, ou construire un WC hommes et femmes … Heureusement que le ridicule ne tue pas, sinon on comptabiliserait plus de morts qu’avec le Covid !
La deuxième directive européenne concerne l’interdiction des découverts bancaires à compter du mois du 20 novembre 2026, alors que 45% des français sont à découvert au moins une fois par an et qu’un nombre très élevé d’entre eux le sont, dès le 20 de chaque mois. Question : Cette mesure s’appliquera-t-elle aussi à « l’Etat Français », en découvert endémique de près de 3 500 milliards ? Comment ce même État pourrait-il d’ailleurs résorber son découvert d’ici un an, alors qu’il peine déjà à rembourser les intérêts de sa dette ? En toute logique cette disposition, qui vise à limiter le surendettement des particuliers, devrait aussi s’appliquer à notre pays, plus dispendieux que la majorité des ménages français. Ou alors, il y aurait une forme de discrimination, deux poids deux mesures, chose sur laquelle auront peut-être à se prononcer d’autres fonctionnaires, en l’occurrence les magistrats de la Cour européenne de justice, située à Luxembourg.
L’histoire serait cornélienne, avouons le, et cela mériterait bien un acte supplémentaire à la pièce de théâtre « Ubu roi » d’Alfred Jarry, écrite par le dramaturge français en 1895.
Après cela, on s’étonnera que la Slovaquie ait adopté, voici quelques jours, un amendement dans sa constitution garantissant la primauté de ses lois face à l’Union européenne. La France s’engouffrera-t-elle à son tour dans cette brèche ? Chiche ! Quand les fonctionnaires de 27 pays décident ce qui est bon ou mauvais pour nous, qu’en est-il de la souveraineté de la France ?
En vérité, je vous le dis, l’Europe est tombée sur la tête et nous vivons une époque ubuesque.

Le tourisme carcéral à Paris des députés LFI, indécent !

On connaissait le tourisme sexuel en Thaïlande, voilà que les tours opérateurs du Palais Bourbon viennent d’inaugurer une nouvelle destination, les maisons d’arrêt françaises, avec visites à la carte, Fresnes, Fleury-Merogis, etc. En choisissant « La Santé » les  deux députés LFI, Ugo Bernalicis et Daniele Obono, ont dû penser que c’était  bon pour la leur … 

C’est surtout pour les Insoumis, au-delà d’une forme de voyeurisme abject, une façon de réaliser un coup de com’ à bon compte et de contrarier un parloir pour le détenu Nicolas Sarkozy, or, qu’ils le veuillent ou non, un ancien chef d’Etat n’est pas un détenu ordinaire, que cela leur plaise ou pas. Ces élus, qui se qualifient de représentants de la nation, (!) ne sont pas à une provocation près ! On se demande d’ailleurs quels français ont pu élire (qui t’a fait roi ?) ces fichés S et autres fumeurs de joints, qui mettent un point d’honneur à siéger en tenue débraillée dans l’hémicycle, et à vociférer comme dans une cour de ferme.

Des générations entières de parlementaires doivent se retourner dans leur tombe en voyant cette bande d’olibrius qui font honte à leur écharpe tricolore et à l’un des temples les plus prestigieux de la République et de la démocratie, car ils sont l’antithèse de cette dernière.

Ils se permettent toutes les outrances verbales, à peine rappelés à l’ordre par la présidente de l’Assemblée nationale impuissante à calmer cette meute de loups hurleurs, encouragés par le gourou de leur secte, le Chavez français : Jean-Luc Mélenchon, qui n’a qu’un but : instaurer le chaos dans le pays. Ce Robespierre d’opérette ne rêve que du grand soir, et de pendre la lanterne les représentants du grand capital, fidèle à l’engagement trotskyste de son adolescence. La haine et l’esprit de revanche sont leur carburant. Et le grand chef peut compter sur de fidèles lieutenants dignes successeurs des Danton et Saint-Just, les Corbières, Ruffin, Boyard, Delogu, Panot et consorts qui entendent faire renaître dans l’Hexagone l’esprit révolutionnaire de 1789, ou plutôt celui de la Terreur de 93. Et pour souffler sur les braises, on peut compter sur eux, il n’y a pas pires pyromanes verbaux. Tribuns certes, mais tribuns incendiaires, et non pacificateurs.

Après la racaille de banlieue, celle que Sarkozy se proposait de nettoyer au Karcher, la France compte désormais des députés islamo-gauchistes, pour qui tout ce qui est blanc, chrétien et de droite, est haïssable et bons à jeter aux orties, quand ce n’est pas aux chiens, tellement leur vocabulaire est outrancier. On imagine leur délectation à voir l’ancien président de la République jeté en prison, au mépris de la présomption d’innocence, par des juges aussi rouges qu’eux. Et comme si ça ne leur suffisait pas, il faut aller le narguer sur son lieu de détention, en mettant en avant leur droit de visite de députés. De pareils individus n’ont aucune éducation, aucune décence, aucun respect, aucune forme d’humanité et de compassion pour leurs adversaires politiques. Ils chassent en bande comme les prédateurs, avec comme seul objectif la destruction de la société française porteuse de toutes les tares, à commencer par la colonisation pour laquelle ils condamnent la France à perpétuité.

Comment s’étonner, après cela, que nous n’ayons pour eux que le plus profond mépris, et surtout que nous sommes impatients de les voir repartir d’où ils sont venus, et n’auraient jamais dû sortir. A savoir pour certains, la fange et la lie de la société.

La perpétuité « incompressible », mauvaise contrefaçon de la perpétuité « réelle »

A l’heure où le jugement pour le meurtre de la petite Lola est rendu par la cour d’assise de Paris, 88% des français se déclarent favorables à l’encontre des meurtriers d’enfants à une peine de réclusion à perpétuité « réelle ». Et on ne peut que les approuver, tant ils se multiplient depuis quelques années, et avec de plus en plus de cruauté.
La réclusion à perpétuité prononcée par les tribunaux est en réalité une peine de sûreté de 18 ans, tandis que la perpétuité « incompréhensible » est portée à 30 ans, mais il ne s’agit en aucun cas de perpétuité a vie. Or, seule une perpétuité « réelle », comme c’est le cas dans certains États américains, peut garantir à la société que le détenu ne ressortira jamais de prison, qu’aucun aménagement de peine, ou sortie conditionnelle ne sera possible. La perpétuité réelle, en terme de garantie d’exécution de peine est la seule qui se substitue vraiment à la peine capitale, abolie en France en 1981. Dans les autres cas, tout condamné à perpétuité peut espérer retrouver la liberté 15, 20 ans plus tard, ce qui est loin de correspondre aux attentes des familles de victime. Avec l’assassinat de leur fille les parents de Lola ont pour leur part été condamnés à mort. Un détenu âgé de 20 ans au moment du jugement peut ainsi espérer sortir de prison à l’âge de 40 ans, ce qui, quelque part, est une sorte d’escroquerie judiciaire et morale, qui ne peut en aucun protéger la société d’une possible récidive.
L’algérienne, Dahbia Benkired, qui, rappelons-le, faisait l’objet d’une OQTF a donc écopé de la peine maximale prévue par le code pénal français, en clair elle ne retrouvera pas la liberté avant trente ans, c’est-à-dire à l’âge de 57 ans, ce qui malheureusement fera toujours d’elle une personne extrêmement dangereuse car la prison n’est pas un hôpital  et on sort généralement plus mauvais qu’en arrivant, du fait du climat qui règne en milieu carcéral et de la cohabitation avec d’autres criminels. A l’intérieur des enceintes pénitentiaires la violence est quotidienne. Or comme l’a rappelé le procureur général dans son réquisitoire elle a commis trois actes criminels sur la jeune Lola âgée de 12 ans, qu’elle a violé, torturé sauvagement et assassiné en l’étouffant. J’ai souvent écrit ici que les barbares étaient à nouveau dans la ville, Dahbia Benkired est un exemple.
Depuis 1994, date d’instauration de la perpétuité « incompressible » douze condamnés seulement en ont fait l’objet, dont quelques terroristes, c’est dire la parcimonie des juges, et des jurés, à recourir à cette sanction, en dépit de crimes atroces. Où est dans ces conditions le côté dissuasif de la peine ? Cicéron disait « Dura lex sed lex », la loi est dure, mais c’est la loi.
Dahbia Benkired sera la première femme à étrenner la perpétuité incompressible, ce qui ne manquera pas de flatter son ego, elle qui cherchait à attirer l’attention et concentrer tous les regards dans le prétoire. Son narcissisme se voit récompensé et elle aura tout le temps dans sa cellule de méditer sur la cruauté de ses actes, sa barbarie, et qui sait, se repentir. Après quoi, sitôt libérée, elle sera expulsée hors de France, ainsi en a décidé la cour d’assises qui a fait de son retour  à la frontière une peine complémentaire à la peine principale..
Cela ajoute au demeurant un côté tragique à cette terrible affaire judiciaire, quand on songe que si l’OQTF (Obligation de quitter le territoire français), qui la visait, avait été exécutée, on aurait empêché ce passage à l’acte ignoble d’une créature chez qui toute trace d’humanité a disparu. On pourrait espérer que cela serve de leçon à l’avenir afin d’éviter d’autres drames similaires, que de nouvelles familles soient endeuillées par de semblables tragédies, mais on sait que cela ne sera pas le cas, notamment s’agissant de ressortissants algériens, leur pays se refusant à les accueillir en dépit des traités internationaux, ce qui pose une nouvelle fois le problème de l’immigration incontrôlée, l’immigration sauvage.
Ce soir, Lola, petite victime innocente d’un acte monstrueux, peut reposer en paix, justice à été faite ! Sa meurtrière est derrière les barreaux, et il y a gros à parier que ses codétenues, toutes  aussi violentes et dangereuses, ne vont pas lui rendre la vie facile car ces femmes, souvent au lourd passé criminel, n’aiment pas les tueuses d’enfants. Après le code pénal du tribunal, le temps est venu pour l’algérienne de connaître un autre genre de loi, et contre la « justice » parallèle des prisons Dahbia Benkired sera impuissante et n’aura plus ses avocats pour la défendre. Bienvenue dans l’univers du crime, bienvenue en enfer !
Jean-Yves Duval, journaliste écrivain

Immigration : la vérité accablante des chiffres !

700 000 clandestins (dont 33 000 algériens) en France et 38% d’étrangers impliqués dans les actes délictueux et criminels commis en France, telle est la triste et tragique réalité. Ces chiffres, toujours dissimulés, ont été enfin communiqués par le nouveau ministre de l’intérieur, l’ancien préfet de police de Paris, Laurent Nunez, ce jour sur CNews.

Avec en filigrane, l’assassinat, d’une cruauté absolue, de la jeune Lola, violée, martyrisée et étouffée, par une algérienne sous OQTF, (comme 58 000 de ses compatriotes ou coreligionnaires), ces jours-ci à Paris. Si elle avait été expulsée, comme cela aurait dû être, une petite française serait encore en vie, or le premier devoir d’un État n’est-il pas de protéger ses concitoyens ?

Il y a là une faillite coupable de nos gouvernants ! Alors oui, on est droit de poser la question : Va-t-on accepter encore longtemps que nos enfants se fassent tuer, égorger, par ces assassins venus de l’autre côté de la Méditerranée ? Il faut dire STOP à ces accords privilégiés avec un pays qui crache à la figure de la France tous les jours, à cette hospitalité à sens unique, et dont beaucoup de français paient le prix du sang dans des faits divers horribles.

Nous le devons à la petite Lola, et à ses semblables qui ne demandaient qu’à vivre ! Nous le devons à leur innocence perdue ! Et nous le devons à l’effroyable drame que vivent leurs parents ! Quand donc nos autorités auront-elles le courage d’ouvrir enfin les yeux ? Jusqu’à quand refuseront-elles d’admettre l’évidence sur cette immigration incontrôlée porteuse de malheurs, dont les français font les frais ? Non seulement, ces migrants ont-ils à peine posé, illégalement, leur valise à terre qu’ils profitent de toutes les aides sociales, logement, santé, mais surtout ils refusent de se plier à nos lois et à nos règles et à respecter le pays hôte, en premier lieu sa population. La plupart d’entre eux refusent d’ailleurs de s’intégrer pour conserver leur langue natale, l’arabe, leur religion, l’islam, et leur coutumes comme s’ils vivaient toujours au bled, mais en plus ils sont à l’origine d’une multitude d’actes délictueux et criminels. Et que font nous gouvernants ? Rien, où si peu.

A l’heure où se développe un climat antisémite dans le pays, alors que nos compatriotes juifs ont un comportement exemplaire, nous assistons, les bras croisés, a cette implantation sauvage d’algériens sur notre sol et ne pouvons même pas expulser les auteurs de méfaits, au prétexte que leurs dirigeants refusent de récupérer leurs ressortissants, ce qui est contraire au droit international. La plaisanterie n’a que trop duré !

Assez de salamalecs, nous n’allons pas courber l’échine indéfiniment devant ce ramassis d’autocrates à Alger ! Assez de cette repentance ridicule liée à la colonisation dans laquelle ils veulent nous enfermer à perpétuité ! Assez également de ce personnel tiers-mondiste du consulat français d’Alger qui accorde des visas sans compter, et sans souci des lendemains qui déchantent pour les français de l’Hexagone ! Il est temps de couper le cordon ombilical avec l’Algérie et que les algériens comprennent que les français ne sont pas des vaches à lait qu’on peut traire indéfiniment. Et surtout impunément !

Qu’ils assument leur indépendance acquise en 1962 avec les accords d’Evian, pour notre part nous avons assez donné et tout a une fin. Le vieux proverbe français « chacun chez soi, et les poules seront bien gardées » n’a jamais été autant d’actualité

SOS, société française en péril

Aujourd’hui les caméras sont braquées sur le musée du Louvre, objet du casse du siècle, et c’est légitime, il en va de notre prestige national. Mais comment s’étonner de ce qui s’est passé ?

Tous les jours, on braque :

– des bijouteries, des banques, des pharmacies, des boulangeries, etc. on vole : – du gaz oil dans les réservoirs de camions stationnés sur les aires de repos d’autoroute, des huîtres dans les parcs des ostréiculteurs, des systèmes GPS dans les tracteurs, des données bancaires sur Internet, des câbles électriques sur les lignes SNCF, des fruits dans les vergers des arboriculteurs, des légumes dans les serres des maraîchers, de la paille chez des exploitants agricoles, etc. etc. La liste est longue comme un jour sans fin !

On vole tout et n’importe quoi car tout se monnaie, l’or, l’argent, le cuivre, comme les pièces détachés d’automobiles, etc.

On vole aussi des milliers d’objets cultuels et culturels (calices, ciboires, etc.) dans nos églises, des livres dans les bibliothèques et des flacons de parfum ou des bouteilles d’alcool dans les magasins, de la même manière, on squatte des logements inoccupés au détriment de leurs propriétaires, on occupe illégalement les terrains des paysans pour faire la teuf. On ne respecte plus la propriété d’autrui, c’est désormais open bar, toutes les barrières civilisationnelles ayant sauté pour revenir à un état grégaire, où la loi du plus fort, du plus roublard, s’impose à l’autre.

Rien n’échappe à la rapacité des individus désireux de se faire du fric sur le dos des autres, au mépris des lois et des règles de vie en société ! Nous vivons une époque où on ne respecte plus rien, ni personne nous signifiant que la modernité n’est pas synonyme de progrès.

On vole parce que on ne respecte plus rien, ni personne, parce qu’on ne respecte pas plus l’uniforme des gendarmes, policiers, pompiers, que les les robes des juges, comme on défie l’autorité des enseignants, ce qui témoigne de l’échec de l’éducation familiale et scolaire. C’est un signe des temps, l’expression d’une société qui tombe en décrépitude, en déliquescence, une réalité inquiétante, preuve d’une humanité déshumanisée, désincarnée.

De la même façon nous subissons quotidiennement des attaques aux personnes et aux biens, des agressions dans la rue, des carjacking, des homejacking, les halls d’immeubles sont occupés par des factions de dealers à la recherche de l’argent facile et le trafic de drogues n’a jamais été aussi florissant et prospère. Les incivilités sont partout, en particulier au volant où pour une parole en l’air les automobilises s’étripent et se poignardent. La tolérance n’est plus de mise, l’intolérance la règle. Les individus sont devenus individualistes, égoïstes,  notre société est celle du paraître et non de l’être, notre culture est devenue superficielle et l’ignorance s’est répandue un peu partout, l’avoir étant plus important que le savoir,  dans toute les couches de la société française, propagée par Internet et les réseaux sociaux, alors que les ados restent scotchés pendant des heures devant leurs téléphones portables, leurs tablettes, leurs jeux vidéos, voire des sites promouvant la violence, d’où l’existence de plus en plus de délinquants et de criminels à peine pubères.  La communication n’est plus réelle, même dans les familles, mais virtuelle, on se parle désormais par outil numérique interposé et on se dit que l’intelligence artificielle vaudra toujours mieux que l’intelligence naturelle.

Et après on s’étonne que beaucoup disent « c’était mieux avant », que les gens soient passéistes, voire nostalgiques d’une époque, révolue, où on vivait honnêtement de son travail, et non de rapines et de fraudes fiscales, à la sécurité sociale, aux allocations familiales, etc. Les gens se contentaient de ce qu’ils avaient, sans envier continuellement la maison, la voitures, voire la femme de son voisin, ils économisaient et épargnaient avant d’acheter ce qui leur donnait la valeur de l’effort et de l’argent. Ce n’était pas pour autant le monde idéal, la perfection n’étant pas de ce monde, mais du moins était ce moins pire. Quant on ne peut prétendre à l’absolu on se satisfait de ce qui est relatif, la mondialisation et les nouvelles technologies ont bouleversé nos existences. On a exploité jusqu’au trognon les vraies valeurs, transmises de génération en génération, comme on a épuisé sans vergogne les ressources terrestres et force est de constater que nous sommes à la fin d’un cycle, et qu’il y a urgence à nous régénérer.

Ainsi meurent les sociétés, après avoir trop tapé dans l’héritage au point de le dilapider ! Le mal est fait et nous récolterons ce que nous avons semé, il nous faudra boire la coupe jusqu’à la lie.

Jean-Yves Duval journaliste écrivain

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