Catégorie : La plume au vent Page 4 of 50
On connaissait le tourisme sexuel en Thaïlande, voilà que les tours opérateurs du Palais Bourbon viennent d’inaugurer une nouvelle destination, les maisons d’arrêt françaises, avec visites à la carte, Fresnes, Fleury-Merogis, etc. En choisissant « La Santé » les deux députés LFI, Ugo Bernalicis et Daniele Obono, ont dû penser que c’était bon pour la leur …
C’est surtout pour les Insoumis, au-delà d’une forme de voyeurisme abject, une façon de réaliser un coup de com’ à bon compte et de contrarier un parloir pour le détenu Nicolas Sarkozy, or, qu’ils le veuillent ou non, un ancien chef d’Etat n’est pas un détenu ordinaire, que cela leur plaise ou pas. Ces élus, qui se qualifient de représentants de la nation, (!) ne sont pas à une provocation près ! On se demande d’ailleurs quels français ont pu élire (qui t’a fait roi ?) ces fichés S et autres fumeurs de joints, qui mettent un point d’honneur à siéger en tenue débraillée dans l’hémicycle, et à vociférer comme dans une cour de ferme.
Des générations entières de parlementaires doivent se retourner dans leur tombe en voyant cette bande d’olibrius qui font honte à leur écharpe tricolore et à l’un des temples les plus prestigieux de la République et de la démocratie, car ils sont l’antithèse de cette dernière.
Ils se permettent toutes les outrances verbales, à peine rappelés à l’ordre par la présidente de l’Assemblée nationale impuissante à calmer cette meute de loups hurleurs, encouragés par le gourou de leur secte, le Chavez français : Jean-Luc Mélenchon, qui n’a qu’un but : instaurer le chaos dans le pays. Ce Robespierre d’opérette ne rêve que du grand soir, et de pendre la lanterne les représentants du grand capital, fidèle à l’engagement trotskyste de son adolescence. La haine et l’esprit de revanche sont leur carburant. Et le grand chef peut compter sur de fidèles lieutenants dignes successeurs des Danton et Saint-Just, les Corbières, Ruffin, Boyard, Delogu, Panot et consorts qui entendent faire renaître dans l’Hexagone l’esprit révolutionnaire de 1789, ou plutôt celui de la Terreur de 93. Et pour souffler sur les braises, on peut compter sur eux, il n’y a pas pires pyromanes verbaux. Tribuns certes, mais tribuns incendiaires, et non pacificateurs.
Après la racaille de banlieue, celle que Sarkozy se proposait de nettoyer au Karcher, la France compte désormais des députés islamo-gauchistes, pour qui tout ce qui est blanc, chrétien et de droite, est haïssable et bons à jeter aux orties, quand ce n’est pas aux chiens, tellement leur vocabulaire est outrancier. On imagine leur délectation à voir l’ancien président de la République jeté en prison, au mépris de la présomption d’innocence, par des juges aussi rouges qu’eux. Et comme si ça ne leur suffisait pas, il faut aller le narguer sur son lieu de détention, en mettant en avant leur droit de visite de députés. De pareils individus n’ont aucune éducation, aucune décence, aucun respect, aucune forme d’humanité et de compassion pour leurs adversaires politiques. Ils chassent en bande comme les prédateurs, avec comme seul objectif la destruction de la société française porteuse de toutes les tares, à commencer par la colonisation pour laquelle ils condamnent la France à perpétuité.
Comment s’étonner, après cela, que nous n’ayons pour eux que le plus profond mépris, et surtout que nous sommes impatients de les voir repartir d’où ils sont venus, et n’auraient jamais dû sortir. A savoir pour certains, la fange et la lie de la société.
700 000 clandestins (dont 33 000 algériens) en France et 38% d’étrangers impliqués dans les actes délictueux et criminels commis en France, telle est la triste et tragique réalité. Ces chiffres, toujours dissimulés, ont été enfin communiqués par le nouveau ministre de l’intérieur, l’ancien préfet de police de Paris, Laurent Nunez, ce jour sur CNews.
Avec en filigrane, l’assassinat, d’une cruauté absolue, de la jeune Lola, violée, martyrisée et étouffée, par une algérienne sous OQTF, (comme 58 000 de ses compatriotes ou coreligionnaires), ces jours-ci à Paris. Si elle avait été expulsée, comme cela aurait dû être, une petite française serait encore en vie, or le premier devoir d’un État n’est-il pas de protéger ses concitoyens ?
Il y a là une faillite coupable de nos gouvernants ! Alors oui, on est droit de poser la question : Va-t-on accepter encore longtemps que nos enfants se fassent tuer, égorger, par ces assassins venus de l’autre côté de la Méditerranée ? Il faut dire STOP à ces accords privilégiés avec un pays qui crache à la figure de la France tous les jours, à cette hospitalité à sens unique, et dont beaucoup de français paient le prix du sang dans des faits divers horribles.
Nous le devons à la petite Lola, et à ses semblables qui ne demandaient qu’à vivre ! Nous le devons à leur innocence perdue ! Et nous le devons à l’effroyable drame que vivent leurs parents ! Quand donc nos autorités auront-elles le courage d’ouvrir enfin les yeux ? Jusqu’à quand refuseront-elles d’admettre l’évidence sur cette immigration incontrôlée porteuse de malheurs, dont les français font les frais ? Non seulement, ces migrants ont-ils à peine posé, illégalement, leur valise à terre qu’ils profitent de toutes les aides sociales, logement, santé, mais surtout ils refusent de se plier à nos lois et à nos règles et à respecter le pays hôte, en premier lieu sa population. La plupart d’entre eux refusent d’ailleurs de s’intégrer pour conserver leur langue natale, l’arabe, leur religion, l’islam, et leur coutumes comme s’ils vivaient toujours au bled, mais en plus ils sont à l’origine d’une multitude d’actes délictueux et criminels. Et que font nous gouvernants ? Rien, où si peu.
A l’heure où se développe un climat antisémite dans le pays, alors que nos compatriotes juifs ont un comportement exemplaire, nous assistons, les bras croisés, a cette implantation sauvage d’algériens sur notre sol et ne pouvons même pas expulser les auteurs de méfaits, au prétexte que leurs dirigeants refusent de récupérer leurs ressortissants, ce qui est contraire au droit international. La plaisanterie n’a que trop duré !
Assez de salamalecs, nous n’allons pas courber l’échine indéfiniment devant ce ramassis d’autocrates à Alger ! Assez de cette repentance ridicule liée à la colonisation dans laquelle ils veulent nous enfermer à perpétuité ! Assez également de ce personnel tiers-mondiste du consulat français d’Alger qui accorde des visas sans compter, et sans souci des lendemains qui déchantent pour les français de l’Hexagone ! Il est temps de couper le cordon ombilical avec l’Algérie et que les algériens comprennent que les français ne sont pas des vaches à lait qu’on peut traire indéfiniment. Et surtout impunément !
Qu’ils assument leur indépendance acquise en 1962 avec les accords d’Evian, pour notre part nous avons assez donné et tout a une fin. Le vieux proverbe français « chacun chez soi, et les poules seront bien gardées » n’a jamais été autant d’actualité
Aujourd’hui les caméras sont braquées sur le musée du Louvre, objet du casse du siècle, et c’est légitime, il en va de notre prestige national. Mais comment s’étonner de ce qui s’est passé ?
Tous les jours, on braque :
– des bijouteries, des banques, des pharmacies, des boulangeries, etc. on vole : – du gaz oil dans les réservoirs de camions stationnés sur les aires de repos d’autoroute, des huîtres dans les parcs des ostréiculteurs, des systèmes GPS dans les tracteurs, des données bancaires sur Internet, des câbles électriques sur les lignes SNCF, des fruits dans les vergers des arboriculteurs, des légumes dans les serres des maraîchers, de la paille chez des exploitants agricoles, etc. etc. La liste est longue comme un jour sans fin !
On vole tout et n’importe quoi car tout se monnaie, l’or, l’argent, le cuivre, comme les pièces détachés d’automobiles, etc.
On vole aussi des milliers d’objets cultuels et culturels (calices, ciboires, etc.) dans nos églises, des livres dans les bibliothèques et des flacons de parfum ou des bouteilles d’alcool dans les magasins, de la même manière, on squatte des logements inoccupés au détriment de leurs propriétaires, on occupe illégalement les terrains des paysans pour faire la teuf. On ne respecte plus la propriété d’autrui, c’est désormais open bar, toutes les barrières civilisationnelles ayant sauté pour revenir à un état grégaire, où la loi du plus fort, du plus roublard, s’impose à l’autre.
Rien n’échappe à la rapacité des individus désireux de se faire du fric sur le dos des autres, au mépris des lois et des règles de vie en société ! Nous vivons une époque où on ne respecte plus rien, ni personne nous signifiant que la modernité n’est pas synonyme de progrès.
On vole parce que on ne respecte plus rien, ni personne, parce qu’on ne respecte pas plus l’uniforme des gendarmes, policiers, pompiers, que les les robes des juges, comme on défie l’autorité des enseignants, ce qui témoigne de l’échec de l’éducation familiale et scolaire. C’est un signe des temps, l’expression d’une société qui tombe en décrépitude, en déliquescence, une réalité inquiétante, preuve d’une humanité déshumanisée, désincarnée.
De la même façon nous subissons quotidiennement des attaques aux personnes et aux biens, des agressions dans la rue, des carjacking, des homejacking, les halls d’immeubles sont occupés par des factions de dealers à la recherche de l’argent facile et le trafic de drogues n’a jamais été aussi florissant et prospère. Les incivilités sont partout, en particulier au volant où pour une parole en l’air les automobilises s’étripent et se poignardent. La tolérance n’est plus de mise, l’intolérance la règle. Les individus sont devenus individualistes, égoïstes, notre société est celle du paraître et non de l’être, notre culture est devenue superficielle et l’ignorance s’est répandue un peu partout, l’avoir étant plus important que le savoir, dans toute les couches de la société française, propagée par Internet et les réseaux sociaux, alors que les ados restent scotchés pendant des heures devant leurs téléphones portables, leurs tablettes, leurs jeux vidéos, voire des sites promouvant la violence, d’où l’existence de plus en plus de délinquants et de criminels à peine pubères. La communication n’est plus réelle, même dans les familles, mais virtuelle, on se parle désormais par outil numérique interposé et on se dit que l’intelligence artificielle vaudra toujours mieux que l’intelligence naturelle.
Et après on s’étonne que beaucoup disent « c’était mieux avant », que les gens soient passéistes, voire nostalgiques d’une époque, révolue, où on vivait honnêtement de son travail, et non de rapines et de fraudes fiscales, à la sécurité sociale, aux allocations familiales, etc. Les gens se contentaient de ce qu’ils avaient, sans envier continuellement la maison, la voitures, voire la femme de son voisin, ils économisaient et épargnaient avant d’acheter ce qui leur donnait la valeur de l’effort et de l’argent. Ce n’était pas pour autant le monde idéal, la perfection n’étant pas de ce monde, mais du moins était ce moins pire. Quant on ne peut prétendre à l’absolu on se satisfait de ce qui est relatif, la mondialisation et les nouvelles technologies ont bouleversé nos existences. On a exploité jusqu’au trognon les vraies valeurs, transmises de génération en génération, comme on a épuisé sans vergogne les ressources terrestres et force est de constater que nous sommes à la fin d’un cycle, et qu’il y a urgence à nous régénérer.
Ainsi meurent les sociétés, après avoir trop tapé dans l’héritage au point de le dilapider ! Le mal est fait et nous récolterons ce que nous avons semé, il nous faudra boire la coupe jusqu’à la lie.
Jean-Yves Duval journaliste écrivain