Catégorie : Accueil Page 13 of 50

Limoges, Nîmes, Grenoble, ces villes où la pègre dicte sa loi !

Guet-apens contre les forces de l’ordre par des bandes d’émeutiers, narcotrafics dans les quartiers avec règlements de compte sanglants … on ne compte plus les faits divers criminels dans notre pays, quelque soit l’endroit de l’Hexagone. L’insécurité est partout et a des causes multiples : agressions, vols, braquages de magasins, home-Jacking, etc. La population est terrorisée, et pas seulement la nuit, on croirait vivre un remake de « Peur sur la ville ».

2025 est l’été de tous les dangers !

On ne compte plus également le nombre de rodéos urbains, un vrai fléau, avec des victimes, même les fêtes ne sont pas épargnées et il faut à chaque fois des déploiements de force XXL (63 000 policiers mobilisés pour le 14 juillet) pour maîtriser la situation et éviter que la racaille ne pille les boutiques. La police, les pompiers, les ambulances sont pris pour cibles de jets de pierre, de tirs de mortiers et de cocktails Molotov. Parfois de fusil de chasse.

Face à cet ensauvagement du pays il n’y a plus de lieux tranquilles, que ce soit en villes comme à la campagne, où la vache ne rit plus que sur une étiquette de boite de fromage. La législation n’est plus adaptée aux exigences de l’heure et la justice trop laxiste, faute de places de prison disponibles. Dans les cités, les dealers imposent leur loi à coups de Kalachnikov, et tissent leur toile d’araignée pour engranger le plus de fric possible, au détriment de la sécurité des habitants et de la santé des consommateurs, qui sont autant de délinquants en puissance afin de pouvoir se payer leur dose de cocaïne quotidienne. Un SMIC a 1 500 euros/ mois est bien loin d’y suffire quand on sait qu’un gramme de coke coûte environ 65€, et que Jean-Luc Delarue, l’animateur télé, reconnaissait en consommer 20gr par semaine, faites le calcul.

On ne respecte d’ailleurs plus rien, pas même les écoles qu’on incendie, les hôpitaux où on agresse le personnel médical, ni personne : élus locaux, maires, agents de l’autorité, médecins, etc. C’est la loi de la jungle où prime la force, y compris parmi les conducteurs, auteurs de graves délits routiers comme de simples incivilités. Les gendarmes, ou policiers, ne font même plus peur à des adolescents encore boutonneux, qui ne redoutent pas davantage les tribunaux. En France la crainte de l’autorité a atteint un déficit abyssal en quelques années.

Certains scénarios noirs évoquent la possibilité d’une guerre civile au cours des années à venir entre des milices citoyennes et les narcotrafiquants, et ce, par suite de l’incapacité de forces de sécurité à juguler les violences urbaines. Quant à confier à l’armée le soin de faire régner l’ordre dans les cités, c’est une vue de l’esprit, les paras et les commandos marines n’ont pas été entraînés à cela et on ne va pas rejouer à Paris « la bataille d’Alger ».

Il est encore temps d’éviter le scénario du pire, mais faudrait-il, pour cela, agir efficacement et rapidement. Qui aura cette volonté chez nos hommes politiques, dont le courage n’est pas la principale vertu ?

En matière d’insécurité, nous sommes à la croisée des chemins, où nous réagissons, vite et fort, ou nous abdiquons face aux bandes criminelles, et nous sombrons, le choix est simple.

… Et pourtant, elle a raté deux fois le concours d’entrée à l’ENA !

En général le choix de la cour des comptes, un des grands corps de la nation, est réservé aux meilleurs, comme Sarah Knaffo, sortie major de sa promotion à l’ENA. Ensuite, on y entre comme auditeur, (comme au conseil d’Etat) avant de devenir maître des requêtes ou conseillère-maître, ce que Najat Belkacem est devenue … directement. C’est comme si elle avait reçu la croix d’officier, avant d’obtenir celle de la légion d’honneur. Par quel tour de magie ? C’est plus fort que de jouer au bonneteau ! 
Sa nomination indique : « sur proposition du Premier ministre », le mystère est ainsi levé. Et chacun après quoi, Boris Vallaud, le premier, mari de la citoyenne Najat, président du groupe parlementaire PS à l’Assemblée nationale, de jurer ses grands dieux qu’elle n’a bénéficié d’aucune faveur. Qui pourrait le croire ? En échange de quel service à venir ? L’ère du soupçon est là, et ses dénégations n’y changeront rien ! Et la nouvelle magistrate, pourra pousser des cris d’orfraie que cela ne changera rien non plus. C’est ce qui s’appelle des petits arrangements « entre amis », quand d’autres parlent de marchandage politique en prévision d’une éventuelle motion de censure sur le vote du budget, à la rentrée de septembre.
 Au-delà de cette faveur, qui ne doit rien à la méritocratie et tout au tripatouillage, on peut se demander ce que les « vrais » magistrats de la cour des comptes pensent de ce tour de passe-passe qui dévalue par voie de conséquences leur propre nomination dans un des corps les plus prestigieux de la République ? Quant au gens du peuple, aux gueux et aux sans-dent, ils seront une fois de plus écœurés par ces mœurs politiciennes indignes d’une authentique démocratie telle que Platon l’avait imaginée.
 Et puis une information chassant l’autre, ou plutôt un scandale succédant à un autre, on passera à autre chose et on oubliera cette épisode peu glorieux, un de plus, qui transforme chaque jour davantage la 5eme République en république bananière.
 Félicitations Mesdames et Messieurs, allez vous étonner après cela de la montée des extrêmes, gauche-droite dans notre pays, et de l’abstention grandissante des français lors des consultations électorales. Vous êtes vous-mêmes les artisans de l’affaiblissement de nos institutions et de la déconsidération de l’ensemble de la classe politique auprès de nos compatriotes.
 Les régimes politiques meurent de telles pratiques, indignes d’hommes et de femmes intègres, qui confondent « servir son pays » et « se servir du pays ».
Vous n’écrivez pas l’Histoire, vous la travestissez, pire vous la dénaturez, mais soyez sûr que cette même histoire vous jugera un jour.

Najat Vallaud-Belkacem, Cour des comptes me voici !

Son mari, député, est le président du groupe parlementaire PS à l’assemblée nationale et la voici désormais, par le fait du prince, (F. Bayrou) conseillère-maître à la cour des comptes, présidée par Pierre Moscovici, autre figure du socialisme…

Que voilà une nomination qui tombe à point nommé à la veille du vote du budget en septembre, où François Bayrou va devoir compter sur toutes les voix de l’hémicycle pour éviter une motion de censure, y compris celles de … députés PS. Qui a parlé de politique de copains et de coquins ?

A moins que le président, venu des rangs de la gauche, et le chef de gouvernement, un vieux briscard de la politique « gauche-droite, droite-gauche », n’aient voulu récompenser l’ancienne ministre de l’Education nationale, qui n’a pourtant pas laissé un souvenir impérissable rue de Grenelle, ou la présidente de « France Terre d’asile», une ONG d’aide aux migrants, à l’heure où on veut réduire le nombre d’immigrés clandestins entrant dans notre pays ?

Quand au fait que son mari soit un des leaders socialistes au Parlement, il ne faut surtout pas y voir là un éventuel conflit d’intérêts, quel mauvais esprit. Du moins, le Premier ministre, qui inflige un remède de cheval aux français pour boucler son budget n’a pas lésiné quant au futur salaire de Najat, aux alentours de 7000 euros mensuels, hors primes et avantages particuliers. On sait se montrer généreux avec l’argent des contribuables ! Ce sont là des méthodes dignes des Républiques bananières et pas d’une grande démocratie.

Les français, à qui on impose un tour de vis financier, et qui vont devoir se serrer la ceinture, du fait de trente ans de gabegie gouvernementale, apprécieront cette belle et généreuse nomination au mérite. De Gaulle disait des français « ce sont des veaux » mais pour Bayrou nous sommes des vaches à lait, nous restons des ruminants.

Et surtout, n’y voyez là aucune complaisance du pouvoir en place, quand bien même certains macronistes ont appelé à voter LFI aux dernières élections législatives pour éviter une majorité RN. Gabriel Attal, le premier. Ces petites tractations d’appareil, « passe-moi le sel, je te donne le poivre », dans, et sur, le dos des électeurs sont minables, on prend vraiment les français pour des c… !

A quand Mathilde Panot, Sandrine Rousseau ou Sofia Chikirou, elles aussi magistrates à la cour des comptes, plus on est de fous, plus on s’amuse.

 

Justice pour Alfred Dreyfus … enfin !

En décidant de faire du 12 juillet une journée de commémoration pour Dreyfus, après son élévation au grade de général, Emmanuel Macron rend justice à un officier français victime d’une sordide campagne antisémite et d’un véritable complot.

Oui, Dreyfus était juif, et il a été le bouc émissaire idéal à l’heure du premier conflit franco allemand de 14-18, qui le vit dégradé et chassé de l’armée, puis emprisonné a l’île du Diable en Guyane avant, beaucoup plus tard, d’être réhabilité. A l’heure où on observe une montée de l’antisémitisme dans le pays c’est là un geste symbolique fort qui doit être salué comme il convient. Pour Dreyfus, la France vient enfin de reconnaître ses torts, hélas à titre posthume, c’est néanmoins une grande victoire.pour ses descendants, et pour l’honneur de l’armée française

Dialogue imaginaire entre Emmanuel Macron et Vladimir Poutine

– Allo ! le standard du Kremlin ?
– Da !
– Passez moi Vladimir Vladimirovitch !
….
– Allo Emmanuel, quel bon vent de Sibérie t’amène, cela fait longtemps …
– Des petits problèmes techniques sur la LiveBox de l’Élysée, rien de grave …
– Quand même, notre dernière communication téléphonique remonte à trois ans, est-ce la CGT qui t’a mis des bâtons dans les roues, des mouvements de grève, des manifs d’opposants, des agriculteurs en colère, les aiguilleurs du ciel, des routiers ou des taxis, les cheminots SNCF … ?
– Non, rien de tout cela Vladimir, je t’assure.
– Le FSB m’a dit que tu avais du retard dans le paiement de tes quittances avec France Telecom …
– Tes agents sont de mauvaises langues, ne les écoute pas, ce dont là des racontars …
– Quand même, avec une dette de 3 000 milliards, les fins de mois ne doivent pas être faciles tous les jours … il n’y a pas de honte à avoir, dis moi si je peux faire quelque chose.
– Tout est en ordre, tu le vois bien puisque je t’appelle, rien que des petites tracasseries, à propos Brigitte m’a dit de te dire qu’elle t’embrassait et espère te revoir un été prochain à Brégançon. Tu n’oublieras pas de prendre ton slip de bains, elle adore quand tu joues de tes pectoraux. Comme les fois, où tu luttais avec un ours de la taïga ou que tu prenais à la main des saumons dans une rivière du Caucase.
– Spasiba, c’est gentil de sa part ! Je vais lui faire porter par l’ambassade un 1 kg de caviar, je sais qu’elle adore cela. Mais dis-moi quel est l’objet de ton appel ?
– Rien d’important Vladimir, je voulais simplement vérifier que la ligne entre nos deux bureaux était bien rétablie.
– Ah, cela me rassure je craignais que cela soit à propos de l’Ukraine ou de l’Iran, ou encore de la Chine et de la Corée du Nord, voire de mon cher Donald, je préfère cela. Et à Paris, tout va bien ?
– Super, en dehors d’un épisode de canicule persistant, il y a eu plus de 40 degrés dans la capitale et les poissons rouges de l’aquarium de mon bureau sont morts par manque d’oxygène …
– Ah, je me doutais bien que tu me dissimulais quelque chose de grave Emmanuel pour m’appeler après un aussi long silence …petit cachotier va !
– Bon, ce n’est pas que je m’ennuie Vladimir, mais je dois aller inaugurer une crèche d’enfants en banlieue, les affaires du monde n’attendent pas, tu en sais quelque chose. Alors à bientôt !
– À bientôt Emmanuel !

Page 13 of 50

© 2025 Copyright Jean Yves DUVAL. - Email : jeanyvesduval9@gmail.com